L’inceste, le silence et la justice : retour sur l’expérience canadienne
Par Jean Bérard & Nicolas Sallée –
Souvent, les incestes – et plus généralement les violences sexuelles familiales – restent longtemps enfouis dans le silence, ainsi que les traumatismes. Dès lors, ne faut-il pas étendre ou supprimer les délais de prescription ? À cet égard, le Canada, où il n’y a pas de prescription en matière criminelle, offre un intéressant terrain d’observation.
- Article gratuit après inscription