Adapté du film-choc « Festen » de Thomas Vinterberg, l’opéra de M.A. Turnage met à nu les secrets d’une famille danoise réunie pour un l’anniversaire de son patriarche. Accusations d’inceste, silence collectif, racisme et vérités éclatent au Royal Opera House dans une œuvre intense et dénonciatrice.
Hélène Merlin – réalisatrice du film Cassandre – interviewée par Wendy Honorine et Dounia Bélonie, juste après la bande annonce de son film nommé Cassandre.
A l’heure du procès de Joël Le Scouarnec, de l’affaire de Betharram, après le procès des viols de Mazan, l’Union rationaliste a voulu voir plus clair dans la question des violences sexuelles.
Invitée : Sandrine Bonneton, pédopsychiatre au CRIAVS et membre de la Ciivise
Divers aspects de la pensée contemporaine – France Culture
Dans cet épisode, Ayoub vous livre son témoignage au sujet de l’inceste maternel. Dans l’imaginaire collectif, la mère représente l’amour, la protection, le soin par excellence. Mais une mère peut aussi blesser, agresser, violer, traumatiser son enfant.
Sylvain Bouchard et Alexis Tremblay parlent du cas de Coralie, fille de Jean Claude Giovanni Apollo, qu’elle accuse d’agression sexuelle. […] Elle souligne l’importance de parler de ces violences intrafamiliales malgré les difficultés légales et sociales associées à de telles révélations.
Dans ce nouvel épisode de Babillage social, Amandine Doré, éducatrice spécialisée, aborde ce thème complexe en évoquant son travail d’accompagnement auprès d’une personne condamnée pour inceste. Comment passer outre les préjugés ? Écouter sans juger ? Un témoignage passionnant, avec l’éclairage d’Emeline Bouchart, psychologue.
La CIIVISE souhaite mettre la formation au cœur de la lutte contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants. En collaboration avec l’EHESP, nous proposerons, en 2026, un module de formation aux professionnels et aux personnes en lien, de près ou de loin, avec les enfants. L’objectif du programme : donner des clés sur la conduite à tenir, l’écoute, le soin et l’accompagnement des enfants victimes de violences sexuelles et d’inceste.
« Le but de la justice n’est absolument pas de réparer les victimes, ni de leur donner une quelconque reconnaissance. Le but de la justice est seulement de recueillir des preuves et de poursuivre ou non, de condamner ou non le mis en cause. La victime n’est qu’un objet au service de la justice, une preuve plus ou moins tangible, plus ou moins crédible parmi d’autres, elle n’a pas sa place en tant qu’humain dans tout ce processus. »
Katouchka a commencé son journal intime quand elle avait 12 ans, en 1972. Les pages qui nous intéressent ici sont celles qu’elle écrit à partir de 1975, à 15 ans. Son journal devient au fil du temps un instrument de psychothérapie, face à la culpabilité qu’elle ressent face à l’inceste dont elle se croit responsable, et face au déni dans lequel est plongée sa famille.
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