Mélodie est comme tout le monde : elle a une soeur, des enfants, un travail et comme près de 75 000 personnes en France par an elle a été victime de viol alors qu’elle n’avait que 7 ans. Aujourd’hui, elle s’est reconstruite et aimerait aider d’autres personnes à sortir du silence grâce à son association « Violeur d’innocence »
Le Parlement a adopté la loi sur les violences sexistes et sexuelles ce mercredi 1er août. Si le texte est salué pour quelques avancées, notamment sur l’allongement du délai de prescription et la pénalisation du harcèlement de rue, les associations de défense des victimes se disent déçues.
Le texte a été approuvé par 92 voix. Personne n’a voté contre mais huit députés se sont abstenus. Il a pour objectif de renforcer la répression des viols et abus sexuels commis sur les mineurs, d’allonger le délai de prescription de l’action publique de certains crimes, lorsqu’ils sont commis à l’encontre de mineurs et de renforcer la répression du harcèlement sexuel ou moral.
Lundi 23 juillet, une commission mixte paritaire s’est entendue sur le texte de loi porté par la secrétaire d’Etat Marlène Schiappa. Une nouvelle déception pour la députée Sophie Auconie, qui avait mené les travaux préparatoires.
Malgré des versions très différentes, en raison de l’embolie du calendrier législatif, Assemblée et Sénat se sont accordés sur un compromis concernant le projet de loi de lutte contre les violences sexuelles et sexistes. En deça des intentions initiales du gouvernement, il contient plusieurs innovations.
Au parlement la commission mixte paritaire vient de s’accorder sur une rédaction du fameux article 2 sur le consentement du projet de loi sur les violences sexuelles.
Lundi, en commission mixte paritaire, les élus LREM et LR se sont mis d’accord sur un texte très éloigné de l’ambition initiale de la réforme. Le projet de loi doit à présent faire l’objet d’une nouvelle lecture dans chaque chambre pour pouvoir être adopté.
Dans Fleuve Noir, d’Érick Zonca, à l’affiche depuis mercredi 18 juillet, il y a une disparition, de la drogue, de l’alcool, un étrange voisin… et Marie. Un personnage pas si secondaire que cela, portant la question de la solitude des familles confrontées au handicap. Mais aussi celle du droit à la sexualité et des violences sexuelles subies par les personnes ayant un handicap mental.
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