Marine, maman d’une petite Thaïs et grand reporter, a été victime de viol au sein de sa propre famille. Elle explique par son témoignage l’importance cruciale d’écouter et de croire les enfants victimes. Elle raconte son témoignage les yeux dans les yeux.
La Maison des maternelles – France 2 – Durée : 8 min
Maxime, une adolescente de 17 ans, avance dans le couloir du commissariat. Elle suit Karine, une policière. Dans le bureau de Karine, Maxime est auditionnée une dernière fois, doit se souvenir encore une fois. La peur est de plus en plus présente. Maxime le sait, elle va devoir faire face à sa plus grande peur. Se retrouver dans la même pièce que l’homme qui lui a fait du mal lorsqu’elle était enfant.
Agressée sexuellement par son beau-père, Nismet, 16 ans, fugue et fonce droit devant elle… Philippe Faucon restitue avec justesse l’histoire véridique d’une émancipation, portée par un farouche instinct de survie.
Les enfants victimes d’agressions sexuelles n’ont pas toujours les mots pour raconter ce qu’ils ont vécu. […] Pour récolter la parole de ces jeunes victimes et diminuer le risque de « passer à côté » d’une confidence difficile à formuler, la Brigade de protection de la famille du commissariat de Besançon s’est équipée d’un nouvel outil : une « salle Mélanie » attendue depuis des années.
Caroline Darian, la fille de Gisèle Pelicot, revient sur le drame qui a secoué sa famille : pendant dix ans, son père a drogué sa mère pour la soumettre à des viols commis par des inconnus recrutés sur Internet. Cette affaire expose le scandale de la soumission chimique, une pratique où des agresseurs, généralement proches des victimes, utilisent des médicaments sur ordonnance ou en vente libre pour commettre leurs crimes. Ce phénomène, loin d’être marginal, touche des victimes aux profils variés…
Témoignage de Lilwenn, à la minute 60′, victime de son père
Procès de la masculinité, procès du patriarcat, procès de la culture du viol, procès de la lâcheté a dit Gisèle Pelicot, avant-hier lors de sa dernière prise de parole, alors que gardera-t-on de cette affaire dans 6 mois ou dans quelques années ? Peut-il durablement faire changer la société ? Changer notre regard sur le viol, briser les tabous sur l’inceste ? Ce procès peut-il être celui qui permet de sortir d’un certain nombre de dénis ?
C ce soir du jeudi 21 novembre avec Iris Brey, Marion Dubreuil, Cécile Cée, Marc Crépon, Rachel Flore Prado, Cécile Ollivier.
Sept femmes et un homme se dressent à visage découvert ont décidé de raconter la réalité crue de l’inceste dont ils ont été victimes, d’en décrypter les mécanismes et les conséquences pour enjoindre le public à opérer une révolution de l’écoute.
Séverine, Gabrielle et Audrey se battent pour protéger leur enfant de leur bourreau présumé. Des cris du cœur, des cris de mamans, des histoires terrifiantes…
Ça commence aujourd’hui – France 2 – Durée : 57 min
Sur l’inceste et les violences intrafamiliales « il faut aller plus loin. Il y a un travail à mener avec la justice pour sensibiliser les magistrats ». @ACanayer, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Petite enfance, invitée de @Caroline_Roux dans #cdanslair. pic.twitter.com/rsC3klvtIS
Agnès Canayer, ministre déléguée chargée de la Famille et de la Petite enfance sera l’invitée de Caroline Roux en cette journée internationale des droits de l’enfant.
Une équipe de « Sept à Huit » a obtenu l’autorisation exceptionnelle de filmer une audience devant une cour criminelle. Dans le box des accusés, un homme de 43 ans fait face à sa belle-fille Léa et à sa fille Anaïs, qui l’accusent d’inceste.
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok