Dans un ouvrage « Vivre », Isabelle Maillot, originaire de Saint-Denis raconte son enfance, ses viols, son parcours thérapeutique pour s’en sortir. Elle veut désormais se mettre au service des victime d’inceste.
Catherine Salvadori a aujourd’hui réussi à surmonter son traumatisme, « après vingt-cinq années de psychanalyse ». Elle n’a rien oublié des viols répétés « deux ou trois fois par semaine », par sa mère, de 2 ans et demi à 5 ans et dont son père ne savait rien. De sa mère, décédée il y a près de 40 ans, elle écrit avoir été « son objet sexuel ».
Avec : – Laurent Boyet, auteur de « Tous les frères font comme ça » aux éditions Hugo & Cie, capitaine de police – Sylvie Benamou, responsable nationale des groupes de paroles de l’Association Internationale des Victimes de l’Inceste (AIVI)
« Lorsqu’un animal a peur, il retourne à son foyer, si terrifiant soit-il. » Ce syndrome, l’auteure anonyme de Jours d’inceste ne le connaît que trop, et ce depuis l’âge de 3 ans, depuis la toute petite enfance, quand il est impossible de dire non, de s’échapper, d’échapper au monstre dans le placard.
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