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Elisabeth Guigou, ex-ministre de la Justice : « La société doit regarder l’inceste en face »
Le Journal du Dimanche – 26/12/20 – Article par Juliette Demey et Plana Radenovic : L’ancienne ministre de la Justice Elisabeth Guigou lance les travaux de la commission indépendante sur les violences sexuelles faites aux enfants. Constatant le « silence pesant sur ces violences sexuelles subies dans l’enfance et en particulier l’inceste », la présidente de cette nouvelle commission détaille dans le JDD la feuille de route de cette instance. (texte)
À Agen, la commission sur l’inceste débute ses travaux
Le Figaro – 10/12/20 (19h31) – Reportage par Agnès Leclair : Élisabeth Guigou, à la tête de cette instance, et Adrien Taquet, secrétaire d’État chargé de l’Enfance, ont rendu visite à des victimes.
Alors que le gouvernement a annoncé la création d’une commission sur les violences sexuelles faites aux enfants cet automne, la journaliste Charlotte Pudlowski explore dans sa nouvelle série de podcasts Ou peut-être une nuit les rouages du silence qui entoure le tabou des tabous : l’inceste.
C’est l’un des tabous les plus tenaces de notre société : l’inceste. Seules 10% des victimes portent plainte à l’âge adulte. Dans Inceste, que justice soit faite, diffusé mardi 5 février sur France 5, la réalisatrice Audrey Gloaguen suit le parcours de quatre victimes pour obtenir réparation. Rencontre avec une enquêtrice de choc.
Sur Twitter et sous le hashtag #cuentalo – pour «raconte-le» – s’accumulent des centaines de milliers de témoignages de femmes victimes de violences sexuelles.
Les parents de la fillette se sont rencontrés sans connaître leur lien fraternel. Mais aux yeux de la loi, un inceste empêche d’inscrire une double filiation sur un acte de naissance. La justice avait donc privé juridiquement l’enfant de sa mère alors qu’elle l’élève depuis sa naissance.
Un livre-choc, à l’indéniable puissance narrative, mais aussi un « livre-médecine », exceptionnel et salutaire, qui met sur ce que vivent et éprouvent les victimes d’inceste des mots justes. Parce qu’elle a tenu à garder l’anonymat, l’auteure de «Jours d’inceste» porte la parole de toutes celles qui ne peuvent ou n’osent encore parler. Ce qu’elle décrit de l’intérieur avec sa voix unique, et qu’elle a enduré de la petite enfance jusqu’à l’âge de 21 ans, pourra choquer ceux qui refusent de savoir. Les autres, tous les autres, les victimes d’inceste comme les thérapeutes, reconnaîtront dans cette histoire vraie et terrible la vérité sur une emprise absolue, la vérité sur le tabou des tabous.
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