La Commission indépendante sur l’inceste et les violences faites aux enfants a dévoilé les chiffres de l’enquête menée sur l’inceste en France jeudi 21 septembre. Des chiffres qui traduisent une situation alarmante. (Durée : min)
Comportements à risque et syndromes post-traumatiques sont plus fréquents quand les enfants victimes d’inceste ne sont pas suffisamment accompagnés et protégés, souligne la Ciivise dans un rapport publié ce jeudi. Elle rappelle leur « besoin vital » d’être écoutés et crus.
Deux ans après le lancement d’un appel, la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants a reçu près de 27 000 témoignages.
La « Commission inceste » publie ce jeudi un rapport dans lequel elle analyse les 27.000 témoignages reçus depuis deux ans. Un travail qui met en lumière la nécessité de pérenniser sa mission au-delà du 31 décembre, afin de construire une véritable politique publique de protection de l’enfance.
L’ONPE publie une revue de littérature relative aux violences sexuelles intrafamiliales. Accompagnée d’une fiche synthétique, elle dresse un état des connaissances scientifiques disponibles sur le sujet afin d’en faciliter l’accès au plus grand nombre.
Le Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes dresse, dans ce rapport, un bilan mitigé et alerte sur le fonctionnement des Centres Régionaux du Psychotraumatisme et leur capacité à prendre en charge les femmes victimes de violences masculines.
Le coût du déni, c’est que ce que nous coûtent les agresseurs chaque année. C’est le coût de leur impunité, des conséquences à long terme des violences sexuelles pour les victimes et de notre passivité. Le coût du déni, c’est 9,7 milliards d’euros chaque année…
Dans un rapport examiné par la Délégation aux droits des enfants mercredi 29 mars, les députés Karine Lebon (La Réunion), Philippe Dunoyer (Nouvelle-Calédonie) et Olivier Serva (Guadeloupe) décrivent la situation des enfants et adolescents dans les territoires ultramarins, davantage exposés aux violences physiques, sexuelles et psychologiques que ceux de l’Hexagone. En Guyane et à Mayotte, la prise en charge des mineurs en danger est complètement défaillante, s’alarment-ils.
Communiqué de presse – L’ONPE publie une note dédiée aux données sur les maltraitances intrafamiliales envers les enfants en France. […] Un focus est consacré aux maltraitances subies dans la sous-population des enfants pris en charge par l’ASE. Cette note s’accompagne d’une fiche synthétique permettant une démarche d’appropriation des chiffres disponibles.
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok