Dans une pétition, accompagnée d’une campagne vidéo diffusée depuis le 15 novembre, l’association de protection de l’enfance Face à L’inceste appelle à changer la loi pour mieux protéger les enfants victimes d’inceste.
Publicis et l’association Face à l’inceste nous invitent à « signer la pétition pour protéger les enfants. » Et à regarder ce film saisissant qui dit tout de la détresse d’un parent protecteur et de son enfant abandonné à son sort… La parole à Anne Clerc, secrétaire générale de Face à l’inceste.
Dans une pétition, 80 personnalités et associations alertent sur « le risque de deux graves reculs à venir » en matière de protection des mineurs contre les violences sexuelles. Les signataires s’inquiètent de la remise en cause de la loi qui a fixé à 15 ans le seuil en deçà duquel un mineur ne peut pas être considéré comme consentant à une relation sexuelle avec un adulte.
Cette campagne intervient le jour où le Sénat débat d’un texte enrichi de mesures contre l’inceste. Jeudi en fin de matinée, la pétition avait recueilli plus de 35 000 signatures.
Un sondage réalisé par Ipsos pour l’association « Face à l’inceste » révèle qu’un Français sur 10 a été victime d’inceste, soit 6,7 millions de personnes. L’association se bat depuis vingt ans pour changer la loi. Entretien avec la présidente-fondatrice de « Face à l’inceste » (ex AIVI), Isabelle Aubry.
Plus de 200 personnalités lancent un appel à Emmanuel Macron afin de retirer l’article 2 du projet de loi contre les violences sexuelles en discussion à partir de lundi à l’Assemblée. Un enfant violé devra encore prouver qu’il n’était pas consentant.
Prés de 250 personnes ont signé un appel pour demander au président Emmanuel Macron de retirer cet article jugé peu protecteur pour les enfants victimes de viol.
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