Enquête – Les Français·e·s et les représentations sur le viol
Un an après #metooinceste, les résultats de la nouvelle grande enquête de l’association Mémoire traumatique et victimologie menée par Ipsos.
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Un module gratuit est proposé sur Internet pour aider à repérer et à signaler les viols et agressions sexuelles commis sur les mineurs. En France, près de 130 000 filles et 35 000 garçons seraient violés chaque année, mais ils restent trop rarement dépistés.
L’association Mémoire Traumatique et Victimologie rend publique un module de formation en ligne de 18 minutes sur la « Protection de l’enfant contre les violences sexuelles » qui a été conçu avec l’aide de la Dre Muriel Salmona, réalisé et est diffusé gratuitement par le réseau SkillBar.
Témoignages, commentaires, questions après la projection du film de Sylvie Meyer, L’enfance volée, avec Eva Thomas, Sylvie Meyer, Jean-Pierre Salmona, et la participation de l’assistance.
Une enquête de l’association Mémoire Traumatique et Victimologie révèleque 165.000 enfants sont victime de violences sexuelles, chaque année en France. Elle inquiète aussi sur leur protection : près d’une victime sur dix croise régulièrement son agresseur.
Une étude Ipsos pour l’association Mémoire traumatique fait l’état des lieux des faits d’agressions sexuelles chez l’enfant. Âge des victimes, traumatismes, prise de parole, impact sur la santé… L’enquête dresse un bilan alarmant.
51 % des cas de violences sexuelles sur mineurs ont lieu dans le cadre familial et 90 % des agresseurs sont des hommes, selon une étude.
Une enquête sur ces agressions et viols montre à quel point les enfants victimes de violences sexuelles sont pris au piège.
Enquête pour l’Association Mémoire Traumatique et Victimologie conduite par Ipsos
L’enquête a été conduite du 10 au 19 septembre 2019 par Ipsos auprès de 502 français.e.s âgé.e.s de 18 ans et plus, ayant été victimes de viols et d’agressions sexuelles dans l’enfance, 83% de femmes et 17% d’hommes, constituant un échantillon interrogé par internet via l’Access Panel Online d’Ipsos.
Selon une enquête d’opinion publiée pour les 10 ans de l’association « Mémoire traumatique et victimologie », le fait de dire que l’on a été victime de violences sexuelles dans l’enfance ne suffit pas pour obtenir une protection.