Anne, Randal, Marjorie et Romain participent à un groupe de paroles dédié à l’inceste et sortent ce tabou de l’ombre : grâce à leur témoignage, des visages s’impriment sur ces victimes et des mots sur ces histoires de vies restées trop longtemps silencieuses.
Anne, Randal, Marjorie et Romain participent à un groupe de paroles dédié à l’inceste et sortent ce tabou de l’ombre : grâce à leur témoignage, des visages s’impriment sur ces victimes et des mots sur ces histoires de vies restées trop longtemps silencieuses.
Ce documentaire réalisé par Sylvie Cozzolino s’intéresse aux victimes d’actes pédophiles, il lève le voile sur le long travail de reconstruction et leur quête d’apaisement.
Depuis plusieurs années, les affaires de pédophilie s’accumulent, dans l’église catholique, dans l’éducation nationale, dans la sphère familiale… là où les enfants se sentent en confiance, en sécurité. Grâce à certaines associations, comme « La parole libérée » à Lyon, la parole des victimes se libère et les scandales éclatent. Les agresseurs sont alors présentés à la justice. Mais parfois les victimes mettent des années à trouver la force d’en parler et il est trop tard, un délai de prescription empêche ces crimes d’être punis. A travers les témoignages de 3 victimes, ce film tente de nous faire comprendre pourquoi ce fléau a si longtemps été nié et pourquoi les victimes gardent le silence.
Du silence à la parole : le traumatisme de l’inceste se raconte dans un documentaire inédit. Un film de Fanny Fontan qui libère la parole de victimes et fait écho à l’actualité.
Davantage qu’aux faits, dont certains, non jugés, ne permettent pas de désigner directement les auteurs, c’est au lent travail de reconstruction de ces enfants fracassés que s’attache Fanny Fontan. Aux stigmates du crime, aux réparations impossibles que s’inventent les victimes.
En avant-première ce vendredi à Marseille, il sera diffusé lundi par France 3
Le documentaire « N’en parle pas c’est un secret » nous convoque en pleins et en déliés dans la vie de survivants et survivantes de l’inceste admirables. Pendant deux années, la réalisatrice, Fanny Fontan s’est pudiquement postée dans leur quotidien nous laissant découvrir leurs questionnements, projets, angoisses, succès, et surtout leurs progrès, parfois09 spectaculaires.
Le film, L’ombre du doute, d’Alice Isserman sera présenté au public. La projection sera suivie d’un débat avec la réalisatrice et des membres des associations LHAVI (Le Havre Aide aux Victimes de l’Inceste) et Reprenvis (Réseau de Prévention Normandie Violences Sexuelles). Cette séance est ouverte à tous.
A l’occasion de la journée mondiale des droits de l’enfant, ce court-métrage percutant montre avec justesse la pédophilie sous son vrai visage. Réalisé par Emilie et Sarah Barbault, ce film glaçant met en lumière l’abus sexuel commis sur une fillette par l’un des membres de sa famille. Dans 70% des cas, le bourreau est en effet un proche de la victime.
Flavie, la quarantaine, est animatrice de télévision. Un jour, avant de passer à l’antenne, elle est terrassée par des vertiges dont elle souffre depuis longtemps. Son psychanalyste lui propose d’apporter un album photo de son enfance pour dérouler le début de sa vie afin de comprendre l’origine de son trouble. C’est ainsi que Flavie parle de sa mère, insatisfaite permanente, qui s’est montrée pleine d’ambition pour elle. Soudain, au cour d’une séance, une photo tombe de l’album. On y voit Flavie à 13 ans, posant en robe décolletée. Elle se souvient alors soudainement que c’est au cours de cet été qu’elle a été violée par un célèbre photographe…
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