Si Pauline se présente au micro de Maître Geiger aujourd’hui, c’est pour raconter son histoire et prévenir. Elle avait 7 ans la première fois qu’elle subit l’inceste dans sa famille recomposée. Son agresseur a 10 ans et ce qu’il appelle « leur secret » va durer 4 ans.
Victime d’inceste par son père, Anne a ensuite été violée par un autre homme qui l’a mise enceinte. À 16 ans, elle a dû se faire avorter en secret aux Pays-Bas, car personne dans sa famille ne la croyait. Des années plus tard, elle raconte son histoire. (Durée de la vidéo : 5 min)
Sept femmes âgées de 24 à 74 ans reviennent sur leur perception du procès des viols de Mazan et regrettent l’aveuglement de la société vis-à-vis d’un « phénomène de masse ».
Sabine n’a pas connu de prostitution hors de la famille. Mais le viol par inceste subi de son père, qui la payait, a fait d’elle une femme qui s’est toute sa vie sentie prostituable. Un témoignage fort, qui décortique les ressorts du système patriarcal.
Enfant, Sarah est victime d’inceste, comme d’autres membres de sa famille autour d’elle. Quand elle parle enfin à sa mère à 15 ans, elle a pour réponse … du silence. Personne n’en parle dans sa famille, même si Sarah sent bien que ce n’est pas normal. Elle continue sa vie en se disant qu’elle va pouvoir mettre ce passé derrière elle, mais ce passé va resurgir. Sarah nous raconte.
A Sainte-Croix, Jean-Loup Fuchs est sorti d’amnésie traumatique en 2018, après les obsèques de son grand-père maternel, identifié depuis comme son agresseur. Au moment des faits, il avait entre 6 et 8 ans. Trois décennies plus tard, il a voulu transformer sa douleur en art, témoigne publiquement pour la première fois afin d’aider les autres. Il nous livre ici son bouleversant témoignage.
Depuis 10 ans, on compte en moyenne 350 cas d’inceste dénoncés chaque année auprès de la police en Suisse. Mais les chiffres réels seraient bien plus grands : entre 2 et 3 enfants par classe, selon plusieurs experts. La RTS a rencontré une survivante et un survivant de l’inceste. Attention à la dureté des propos. (Durée : 4 min)
Faute de pouvoir dialoguer avec son père qu’elle accuse de l’avoir agressée à l’adolescence, Dawa Salfati a décidé de porter l’affaire en justice. Le procès, qui s’ouvre ce 19 novembre à Agen sera public, à la demande de la victime.
Alors qu’une vaste campagne de communication autour des violences sexuelles sur les enfants a été lancée par le gouvernement fin octobre, Marie, une samarienne victime d’inceste commis par son frère pendant des années, prend la parole sur France Bleu Picardie.
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