Comportements à risque et syndromes post-traumatiques sont plus fréquents quand les enfants victimes d’inceste ne sont pas suffisamment accompagnés et protégés, souligne la Ciivise dans un rapport publié ce jeudi. Elle rappelle leur « besoin vital » d’être écoutés et crus.
Deux ans après le lancement d’un appel, la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants a reçu près de 27 000 témoignages.
La « Commission inceste » publie ce jeudi un rapport dans lequel elle analyse les 27.000 témoignages reçus depuis deux ans. Un travail qui met en lumière la nécessité de pérenniser sa mission au-delà du 31 décembre, afin de construire une véritable politique publique de protection de l’enfance.
La Ciivise a recueilli près de 27 000 témoignages depuis trois ans. Dans une synthèse, elle insiste sur l’importance de la réponse de la personne à qui l’enfant se confie.
La Ciivise va publier ce jeudi une analyse des 27 000 témoignages qu’elle a collectés depuis le début de sa mission, il y a deux ans. Objectif : donner des clés pour mieux entourer et écouter les victimes
Un décret du 6 février pose le cadre du traitement de données à caractère personnel recueillies auprès des jeunes victimes d’inceste par la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) .
Le décret du 6 février 2023 portant création d’un traitement de données à caractère personnel dénommé « Témoignages Ciivise » a été publié au Journal officiel du 7 février 2023.
Un décret du 6 février 2023 crée « Témoignages Ciivise », un traitement de données à caractère personnel dont l’objet est de recueillir les témoignages des victimes d’inceste ou d’autres violences sexuelles subies alors qu’elles étaient mineures, ainsi que des tiers (proches, professionnels de l’enfance).
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