Christine, victime d’inceste, nous livre un talk puissant sur sa stratégie de résilience. Spécialiste dans le domaine de l’enfance en particulier en matière d’offres de mieux-être et de bien-être de l’enfant.
Lorsqu’un·e enfant révèle un inceste, la personne qui reçoit cette confidence n’agit pas dans près d’un cas sur deux. C’est ce qu’a vécu Maëlle, 18 ans aujourd’hui. Quand elle a parlé des agressions sexuelles imposées par son beau-père, sa mère a minimisé les faits. Violée par son grand-père, Amira, 21 ans aujourd’hui, a, elle, été entendue, crue et soutenue par ses parents lorsqu’elle a parlé.
Toutes les 3 minutes, selon l’Unicef, un enfant est victime d’inceste, de viol ou d’agression sexuelle en France. Alors que de nombreuses agressions sont encore passées sous silence, Alexandre Fontenoy a décidé de prendre la parole pour que « la honte et le tabou cessent afin que l’État et les familles autour des victimes réagissent. »
Journée d’études organisée le 10 juin 2025 par l’Institut Thématique Interdisciplinaire Lethica (littératures, éthique, arts), Université de Strasbourg
Assia était une enfant pleine de vie. Mais à 9 ans, son monde s’est effondré : son beau-père a commencé à abuser d’elle. Pendant des années, il l’a manipulée, lui répétant qu’il l’aimait et qu’il voulait l’épouser. À 12 ans, portée par le soutien d’une amie, Assia a trouvé la force de parler.
A partir de ses 9 ans, Lydia Gouardo a commencé a être violée et séquestrée par son père. Son calvaire a duré 28 ans et s’est terminé par la naissance de 7 enfants. C’est en 1999, à la mort de son père que Lydia a pu s’échapper et a commencé une vie normale.
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