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Étiquette : Suisse

En Suisse, la difficile prise de parole des victimes d’inceste

Le tabou de l’inceste commence à s’étioler en France suite à la publication du livre de Camille Kouchner, qui dénonce les agressions incestueuses auxquelles se serait livré le politologue Olivier Duhamel. En Suisse, la parole peine encore à se libérer. Témoignages.

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Le témoignage de Nano: ma mère, mon agresseur – Radio – Play RTS

Nano a 47 ans. Il est depuis 20 ans à l’assurance invalidité. Pour cause: son enfance traumatisante. Depuis sa naissance jusqu’à ce qu’il soit un jeune adulte, sa mère a abusé psychologiquement et sexuellement de lui. Une mère inceste et pédophile, c’est certainement le plus grand tabou de notre société. Comment celle qui nous donne la vie peut-elle aussi nous la briser ? Nano a décidé d’en parler courageusement à « La ligne de cœur ». (Durée : 17m)

rts.ch

Survivre à l’abus d’un père

C’est sans doute l’expérience la plus innommable qui soit, et le tabou le plus vieux du monde. François, 62 ans aujourd’hui, a pourtant souhaité en parler. Raconter ces années où son père, pédiatre reconnu, a abusé de lui dans une chambre du deuxième étage. Pour dire que l’on peut survivre, surmonter le traumatisme et la culpabilité. Mais aussi dans l’espoir d’aider d’autres langues à se délier.

  • Podcast Brise Glace – Le Temps
  • Par Virginie Nussbaum et Célia Héron
  • Durée : 35 min

letemps.ch

Abus sexuels: «Mon père ne me fait plus peur»

La presse l’a surnommée Elena. Elle est la fille aînée du monstre condamné la semaine dernière à 18 ans de prison par le tribunal de la Broye et du Nord vaudois pour inceste sur ses enfants. Sa mère a écopé de 3 ans de prison – dont 6 mois ferme. La jeune victime a accordé sa première interview à «L’illustré».

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Enfants abusés: la réparation est-elle possible ?

Pourquoi Grand-papa n’est-il pas en prison ?

Dans cette famille, le grand-père s’est livré à des attouchements sur ses deux petites filles âgées de 3 et 5 ans. La mère l’a surpris et une plainte a été déposée. Le procès vient d’avoir lieu, le prévenu a été reconnu coupable et condamné à 20 mois de prison avec sursis. Un procès peut-il contribuer à calmer la douleur des victimes? Nos institutions, qui s’appuient sur des lois que le peuple a voulu durcir, rendent-elles justice aux victimes ?

rts.ch