Les mineures foudroyées dans leur innocence sont légion et la maison Jean-Bru d’Agen croule sous les demandes. 72 demandes refusées en 2021 pour les filles, faute de place.
Le dispositif STOP (Service téléphonique d’orientation et de prévention) propose aux personnes qui se sentent attirées par les mineurs une prise en charge afin de leur éviter le passage à l’acte. Premier bilan deux ans après sa mise en place.
Colloque pluridisciplinaire sur les violences sexuelles entre mineurs organisé le 26 novembre dernier par les associations Juristes pour l’Enfance et Famille et liberté, les vidéos des experts sont désormais accessibles en ligne.
La présente recherche porte sur la prise en charge des mineurs auteurs d’infractions à caractère sexuel (MAICS) au sein de dispositifs spécifiques. L’objectif principal est de connaître et faire connaître ces dispositifs et d’identifier les leviers/obstacles dans la prise en charge, les ressources, les pistes d’amélioration. L’objectif secondaire est de faire des propositions relatives à l’accompagnement de ces mineurs et des recommandations de bonnes pratiques.
Ces mesures répondent à trois enjeux prioritaires : mieux prévenir les violences, mieux les repérer, et mieux prendre en charge les enfants qui en sont victimes.
Au Criavs Picardie, des formations sont dispensées aux professionnels de santé ou de l’éducation en contact avec des personnes ayant commis des agressions sexuelles. Car leur prise en charge est essentielle pour limiter les violences sexuelles contre les enfants, notamment.
Les victimes de violences sexuelles qui reçoivent dans l’année des soins spécialisés en psychotrauma ont des chances d’effacer en grande partie les souffrances traumatiques, indique le Dr Karen Sadlier, docteur en psychologie clinique.
La prise en charge psychiatrique – des auteurs de violences incestueuses – dépend du patient qui peut reconnaître les faits, au moins partiellement ou être dans le déni.
En commission aide à la jeunesse, au Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Sadik Koksal défendait, aujourd’hui auprès de Valérie Glatigny, Ministre de l’Aide à la jeunesse, les témoignages de mères recueillis par Axelle Magazine
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok