
La Commission inceste (Ciivise), qui appelle les professionnels de santé à repérer les cas de maltraitance et d’inceste, souhaite que ces derniers soient mieux protégés. Certains, poursuivis en justice par les parents « agresseurs » sont vite découragés.
- Signalements
- Recommandations Ciivise
- Mesures à l’école
- Parler de l’inceste à son enfant
- A quel âge ?
journaldesfemmes.fr

À la suite de la publication des recommandations de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE), fin mars, l’Ordre s’est prononcé contre une obligation de signalement pour les praticiens. Le collectif Stop Violences Médecins se dit consterné par cet avis.
egora.fr

Avec AFP –
Lorsqu’un médecin dénonce des violences envers les enfants, il peut être poursuivi par les parents concernés. Une situation qui les décourage de signaler les maltraitances, selon la Commission inceste.
sudouest.fr

Faut-il obliger les médecins à faire un signalement en cas de suspicion d’inceste ou de violences sexuelles sur un enfant ? Si cela est préconisé par la CIIVISE créée par le Gouvernement, le Conseil national de l’Ordre des médecins s’est montré opposé à la mesure. Le Dr Marie-Pierre Glaviano-Ceccaldi, généraliste, vice-présidente de l’instance ordinale et présidente du Comité national des violences intrafamiliales, explique pourquoi cela pourrait, au contraire, mettre les mineurs en danger. Interview. (Source : Egora.fr)
lesgeneralistes-csmf.fr

La Ciivise préconise une obligation de signalement pour les médecins et que ceux-ci soient protégés de poursuites disciplinaires. Seulement 5% des signalements émanent de médecins.
francetvinfo.fr
ne doit-il être alimenté que par des pures « constatations médicales » ?
landotsanitairesocial..com

Ces dernières semaines, dans le sillage de la médiatisation d’affaires de suspicion d’inceste impliquant des personnalités médiatiques, la « parole s’est libérée » sur les réseaux sociaux, assurent certains observateurs. Des témoignages, souvent glaçants, ont été publiés, qui pour beaucoup confirment la prégnance du tabou, mais également un certain abandon des victimes par la justice, mais aussi par les services médico-sociaux.
- Une protection des soignants qui signalent des violences à renforcer
- La déshérence de la médecine scolaire
- L’engagement de Brigitte Macron
jim.fr

Si la parole se libère progressivement, la prise en charge de ces victimes semble quant à elle toujours faire défaut. Consciente de l’existence d’une marge de progression, la délégation Île-de-France de France Assos Santé a publié un plaidoyer-action dans lequel elle formule 8 actions qui pourraient être mises en place à titre expérimental. Principal cheval de bataille de l’association : améliorer la formation des professionnels de santé.
egora.fr

L’affaire Duhamel a relancé le débat sur l’urgence de mieux protéger les enfants victimes d’inceste et d’agressions sexuelles. Un combat porté depuis plus de vingt ans par la pédopsychiatre Catherine Bonnet qui, soutenue par des parlementaires, veut introduire dans le code pénal l’obligation de signalement pour les médecins.
marieclaire.fr