La Ciivise préconise une obligation de signalement pour les médecins et que ceux-ci soient protégés de poursuites disciplinaires. Seulement 5% des signalements émanent de médecins.
francetvinfo.fr
ne doit-il être alimenté que par des pures « constatations médicales » ?
landotsanitairesocial..com
Ces dernières semaines, dans le sillage de la médiatisation d’affaires de suspicion d’inceste impliquant des personnalités médiatiques, la « parole s’est libérée » sur les réseaux sociaux, assurent certains observateurs. Des témoignages, souvent glaçants, ont été publiés, qui pour beaucoup confirment la prégnance du tabou, mais également un certain abandon des victimes par la justice, mais aussi par les services médico-sociaux.
- Une protection des soignants qui signalent des violences à renforcer
- La déshérence de la médecine scolaire
- L’engagement de Brigitte Macron
jim.fr
Si la parole se libère progressivement, la prise en charge de ces victimes semble quant à elle toujours faire défaut. Consciente de l’existence d’une marge de progression, la délégation Île-de-France de France Assos Santé a publié un plaidoyer-action dans lequel elle formule 8 actions qui pourraient être mises en place à titre expérimental. Principal cheval de bataille de l’association : améliorer la formation des professionnels de santé.
egora.fr
L’affaire Duhamel a relancé le débat sur l’urgence de mieux protéger les enfants victimes d’inceste et d’agressions sexuelles. Un combat porté depuis plus de vingt ans par la pédopsychiatre Catherine Bonnet qui, soutenue par des parlementaires, veut introduire dans le code pénal l’obligation de signalement pour les médecins.
marieclaire.fr
Il y a les enfants qui ne savent pas dire, mais aussi les adultes qui ne veulent ni voir ni entendre. Comment en finir avec l’omerta qui entoure l’inceste ? Les spécialistes plaident pour une meilleure sensibilisation du milieu scolaire et médical, mais soulignent aussi la vigilance nécessaire de chacun d’entre nous.
franceinter.fr
La révélation des violences constitue une étape cruciale dans la prise en charge des victimes.
Comment lever ces freins et faciliter la parole afin de permettre un accompagnement adapté, complet et rapide ?« Le tabou est ce qui ne peut être dit. »
La sexualité, la mort, l’inceste, la violence sont des thématiques dont l’approche demeure aujourd’hui encore bien conditionnée par des interdits culturels, familiaux, sociaux et religieux. Ils ont pourtant une dimension universelle, interculturelle et infiltrent toutes les sociétés.
Savoir, croire, ne pas ignorer l’existence des traumatismes multiples qu’un individu a pu ou peut vivre nous concerne, nous médecins, et doit participer de cette conscience collective de non occultation. […]
thyma.fr
Dans cette tribune publiée par L’Express, des professionnels de l’enfance souhaitent que, dans le cadre du projet de loi renforçant la lutte contre les violences sexuelles et sexistes, soit étendue l’obligation de signalement des violences sur mineurs à l’ensemble des médecins.
lexpress.fr