Dans « Réinventer l’enfance », Ève Simonet aborde le sujet sensible des violences faites aux enfants et des traumatismes liés à la domination adulte. Un documentaire à la fois politique et intime qui appelle à repenser les dynamiques éducatives. Ève Simonet est l’invitée d’Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
La Quotidienne – Sqool TV (Durée : 8 min)
Documentaire disponible gratuitement sur on.suzanne
En accès gratuit à partir de ce vendredi 24 janvier, le documentaire « Ré-inventer l’enfance », réalisé par Ève Simonet, fait intervenir inconnus et experts pour dénoncer le silence autour de l’ampleur des violences faites aux enfants en France.
Caroline Darian, la fille de Gisèle Pelicot, revient sur le drame qui a secoué sa famille : pendant dix ans, son père a drogué sa mère pour la soumettre à des viols commis par des inconnus recrutés sur Internet. Cette affaire expose le scandale de la soumission chimique, une pratique où des agresseurs, généralement proches des victimes, utilisent des médicaments sur ordonnance ou en vente libre pour commettre leurs crimes. Ce phénomène, loin d’être marginal, touche des victimes aux profils variés…
Témoignage de Lilwenn, à la minute 60′, victime de son père
« Se reconstruire après l ‘inceste » : Reportage à Agen à la maison Jean Bru, seul foyer spécialisé dans l’accueil des jeunes filles abusées de 10 à 21 ans. Rencontre avec Audrey, qui a subi l’inceste de l’âge de 5 ans à 10 ans. Commentaire sur images factuelles, alternant avec le témoignage de Audrey et l’interview de Patrick Ayoun, pédopsychiatre.
Le documentaire de Guy Padovani dresse le portrait d’Arnaud Gallais, qui, victime de violences et de viols au sein de sa famille, est devenu défenseur des droits de l’enfant.
Victime d’un double inceste, commis par un grand-oncle et par deux cousins, Arnaud Gallais lutte contre les abus sexuels et la violence envers les enfants. Il veut briser le silence en donnant la parole aux victimes, s’active pour faire voter des lois et sensibiliser l’opinion publique.
Ecrivaine française multiprimée, Christine Angot passe derrière la caméra pour faire témoigner son entourage sur l’inceste qu’elle a subi dès l’âge de 13 ans de la part de son père. Ce documentaire bouleversant et important a été diffusé en Première suisse à la 55e édition du festival Visions du Réel à Nyon et est depuis ce mercredi dans les salles de Suisse Romande.
Christine Angot est l’invitée d’Anne Laure Gannac.
Le documentaire Une famille, de Christine Angot, connaît un beau succès en salles depuis sa sortie il y a un mois. C’est tant mieux. Je l’ai vu, j’ai été bouleversée, stupéfaite, j’ai pleuré cinq fois. Mais c’est peut-être lors d’une intervention médiatique d’Angot elle-même que j’ai été le plus renversée. L’autrice et réalisatrice y raconte comment, tous les jours, depuis plus de trente ans, la pensée de l’inceste qu’elle a subi dans sa jeunesse refait surface dans sa vie.
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