Deux nouvelles enquêtes, l’une conduite par l’INED et l’autre par Ipsos, pour l’association Face à l’inceste, délivrent de nouveaux chiffres sur l’inceste en France. En 2020, 6,7 millions de Français affirment avoir été victimes d’inceste
« La difficulté d’entendre. Pour la société, c’est ça, le plus dur« , juge Randal Do, thérapeute familial et responsable de l’antenne marseillaise de Face à l’inceste (ex-Aivi). Ce sont en effet des chiffres terribles, que même certains professionnels de la protection de l’enfance en danger peinent aujourd’hui à intégrer.
Dans son nouveau podcast La fille sur le canapé, l’autrice féministe Axelle Jah Njiké lève le voile sur le douloureux sujet des violences intrafamiliales sur mineurs dans la communauté noire.
Un documentaire sonore d’Axelle Jah Njiké produit par Nouvelles Écoutes
Pour la première fois, l’Institut national des études démographiques (Ined) dresse un panorama des violences commises dans la famille pendant l’enfance. Il en ressort notamment une première estimation statistique de l’inceste, qui se situe à un niveau « important », estiment les chercheurs.
Si, en matière de violences sexuelles, la société évolue, grâce notamment à la mobilisation des mouvements féministes, s’agissant de l’inceste, un puissant frein demeure : le secret familial.
Interview de Maître Noémie Stéphanie Victoire, avocate guadeloupéenne, invitée du Caraïbe 13 heures du 20 novembre 2020 pour évoquer la problématique de l’inceste en Guadeloupe.
6,7 millions de Français affirment avoir été victimes d’inceste. Comment lutter efficacement contre les violences sexuelles? La loi française est-elle assez répressive? Homayra Sellier, présidente d’Innocence en danger, répond à Sputnik.
Selon l’association « Face à l’inceste », 10% des Français auraient subi des actes incestueux. Depuis le mouvement MeToo, qui a permis une véritable libération de la parole, de plus en plus de victimes témoignent des violences subies, parfois après de longues années de silence.
A l’occasion de la journée internationale des droits de l’enfant, le Haut Conseil à l’Égalité publie un Appel et recommande que soit fixée dans la loi une présomption de contrainte lorsqu’une personne majeure commet un acte sexuel sur un.e mineur.e de 13 ans.
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok