Les jeunes enfants victimes d’agression sexuelle n’ont pas de voix dans l’espace public
Par Rachel Langevin et Martine Hébert –
[Québec] Le mouvement #MeToo a permis aux victimes d’agressions d’être entendues dans l’espace public. Les enfants, qui forment une grande proportion des victimes de violences sexuelles, demeurent sans voix.
- Une victime sur cinq ne dévoile jamais l’agression
- Des répercussions multiples
- Des solutions existent