Depuis le début du quinquennat Macron, les violences faites aux enfants mobilisent l’ensemble du gouvernement et des ministères. Aujourd’hui, des avancées, notamment en matière de violences sexuelles intrafamiliales, se traduisent par des mesures concrètes qui permettent de mieux les prévenir en les repérant au sein de l’école et ainsi briser la loi du silence.
Au sein de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise), à l’œuvre depuis six mois, Marie-Françoise Bellée Van Thong est la seule représentante de l’administration territoriale de la protection de l’enfance. Ancienne directrice enfance et famille du département des Hauts-de-Seine, elle a longtemps siégé dans les instances nationales de la protection de l’enfance.
Trop de situations de maltraitance et de violences sexuelles passent inaperçues. L’un des enjeux majeurs : la formation de tous les professionnels, notamment les travailleurs sociaux, impliqués dans le repérage et la prise en charge des enfants victimes.
Ce webinaire a pour objet de partager, avec les professionnels de l’enfance, des signes d’alertes, souvent de faible intensité, des réflexions pour une libération de l’écoute.
Nanterre (AFP) – Depuis des années, de nombreux profs le disent : ils sont « en première ligne ». En première ligne et parfois démunis, dans leur salle de classe, pour assurer leur mission. Surtout lorsqu’ils découvrent des vies d’élèves brisées, victimes de sévices chez eux.
Pour cette sixième édition des « Carnets de profs », quatre enseignants font part de leur sentiment d’impuissance face à un problème quotidien de violences, et notamment sexuelles.
Plus de 80 % des mauvais traitements sur un enfant sont infligés au sein de la famille. La maltraitance est caractérisée par son début précoce et sa chronicité. Lorsqu’un professionnel de santé suspecte une maltraitance chez un enfant, pour le protéger, il peut être amené à le faire hospitaliser immédiatement. La HAS a actualisé les documents sur ce thème, réalisés fin 2014. Objectif de ce travail ? Aider les professionnels concernés à repérer et à prendre en charge les enfants victimes de violence. Explications du Dr Muriel Dhénain* et de Alexandre Pitard*, du service des bonnes pratiques professionnelles.
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