"L'inceste, ce tabou dont personne ne parle et que l'on découvre au fil des faits divers sordides. En France, le saviez-vous, 4 millions de personnes se déclarent touchées…", alerte @MaudPetit_AN94#QAG#DirectANpic.twitter.com/S2s4nORcqh
"L'inceste est un crime sans cadavre." @AdrienTaquet affirme que le premier enjeu est de "libérer la parole des victimes, de ceux qui les entourent" et de "mieux former ceux qui sont en contact avec les enfants" mais écarte un "plan spécifique pour l'inceste". #DirectAN#QAGpic.twitter.com/chXiUKel1R
Amendement n°CL261présenté par Mme Elimas, Mme Bannier, Mme de Vaucouleurs, Mme El Haïry, Mme Essayan, M. Garcia, Mme Florennes, Mme Gallerneau, M. Hammouche, Mme Jacquier-Laforge, M. Lainé, M. Laqhila, Mme Lasserre-David, Mme Luquet, Mme Mette, M. Michel-Kleisbauer, M. Mignola, M. Millienne, M. Pahun, M. Frédéric Petit, Mme Maud Petit, Mme Poueyto et M. Ramos
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ARTICLE ADDITIONNEL
APRÈS L’ARTICLE 2, insérer l’article suivant:
« Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport sur l’inceste, sur la place qu’il doit avoir dans le code pénal, sur les mesures de prévention, sur la prise en charge des victimes, sur la mise en œuvre d’un Plan Inceste. »
Après avoir posé les fondations indispensables à la naissance de la cause de l’inceste en France en pénalisant l’inceste, notre pays doit maintenant mettre en oeuvre un « Plan inceste » pour lutter contre ce fléau.
Mercredi 16 décembre, l’Association internationale des victimes de l’inceste (AIVI) lance une grande campagne de mobilisation contre ce fléau, qui reste encore tabou en France.La moitié des viols sur mineurs ont lieu au sein de la famille, rappelle la psychiatre Muriel Salmona.
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