Les membres du groupe de travail ont présenté leurs conclusions aux deux ministres ce jour, jeudi 8 juillet 2021. Ces conclusions sont reprises dans un plan d’actions gouvernemental dont la mise en œuvre débutera dès la rentrée scolaire 2021.
#EnfanceEnDanger | Retour en images sur l'installation de la commission sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants avec @AdrienTaquet et ses deux co-présidents Nathalie Mathieu et Edouard Durand. pic.twitter.com/H52ztFNFLD
— Ministère des Solidarités et de la Santé (@Sante_Gouv) March 25, 2021
Le 23 janvier 2021, le Président de la République a demandé au garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti et au Secrétaire d’Etat chargé de l’Enfance et des Familles, Adrien Taquet de mener une consultation afin d’approfondir les pistes qui permettront de renforcer la loi pour mieux protéger les mineurs victimes de violences sexuelles. Le Gouvernement est déterminé à agir vite pour mettre en œuvre les évolutions que notre société attend.
Adrien Taquet, secrétaire d’État chargé de l’Enfance et des Famille auprès du ministre des Solidarités et de la Santé, réunit vendredi matin un comité de suivi du plan (2020-2022) sur les violences faites aux enfants, afin de présenter aux associations et partenaires l’avancée des mesures.
Le secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé travaille depuis plusieurs mois à un plan de lutte contre les violences qui sera présenté en novembre dont l’ambition sera de répondre à un objectif clair, impliquant l’ensemble du gouvernement : lutter contre toutes les formes de violences faites aux enfants, en tout lieu et à tout moment.
La journée du 2 mars a pour objectif de faire un point d’étape sur la mise en œuvre du premier plan interministériel de mobilisation et de lutte contre les violences faites aux enfants pour la période 2017- 2019, un an après son lancement et de continuer à mobiliser les acteurs intervenant auprès des enfants.
Les violences faites aux enfants sont l’affaire de tous. Chacun d’entre nous a le pouvoir et le devoir de signaler un enfant en danger. Que vous soyez majeur ou mineur, plusieurs solutions sont à votre disposition.
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