« L’enquête conduite en 2021 est une photographie précise des décisions de justices rendues suite à des plaintes pour incestes. Celles-ci témoignent d’un déni de justice, d’une culture du viol et de fausses idées sur la protection des enfants qui nuisent gravement aux victimes tout en assurant une quasi totale impunité aux agresseurs »
Dans une affaire d’inceste où la victime n’avait que 4 ans, le parquet a retenu « l’atteinte sexuelle » plutôt que « l’agression sexuelle ». Une décision qui provoque un tollé sur les réseaux sociaux, car certaines associations contre l’inceste estiment que cela sous-entend un consentement de la victime. Décryptage.
Le tribunal de Saint-Malo a condamné un homme à huit mois de prison avec sursis pour «atteinte sexuelle et délaissement» sur sa fille de 4 ans. Une association de soutien aux victimes d’inceste déplore que l’homme n’ait pas été condamné pour agression sexuelle.
Le rapport américain rédigé par Joyanna Silberg, Stephanie Dallam et Elisabeth Samson a été soumis au Bureau chargé de la lutte contre les violences faites aux femmes du Ministère de la justice en septembre 2013. Il apporte des réponses à partir de l’étude détaillée de cas de « retournement » de situation dans des affaires de garde d’enfants impliquant des allégations d’abus sexuels sur enfants, d’abord estimés faux puis jugés valides plus tard.
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok