« Pachyderme », le court-métrage d’animation réalisé par une ancienne étudiante de Supinfocom Arles, coproduit par TNZPV, aborde le thème de l’inceste. La campagne est lancée pour le porter jusqu’à Hollywood et les Oscars.
Nora, adolescente martiniquaise de 15 ans, est contrainte de suivre sa mère, Laure, et sa petite sœur Mélissa, 6 ans, dans le nord de l’île pour vivre quelque temps chez Henri, son grand-père, paralysé depuis un AVC. Elles s’installent chez le vieil homme pour lui apporter une aide quotidienne. Mais, très vite, l’atmosphère de la maison et la présence d’Henri réveillent chez Nora des souvenirs d’enfance qui vont s’incarner dans la crainte de l’attaque d’un esprit malfaisant…
Câline, le dernier court-métrage animé de Margot Reumont, sera diffusé ce mercredi 22 février sur La Trois. A travers celui-ci, la réalisatrice aborde la douceur de l’enfance, face aux douleurs traumatiques de l’inceste.
Diffusion (Belgique) : Mercredi 22 février sur La Trois à à 00h00
Un court-métrage réalisé par Johanna Bedeau en partenariat avec la CIIVISE, qui a vocation à accompagner l’utilisation du livret de formation. Il suscite l’attention et la réflexion en se centrant sur l’émotion et les besoins de trois jeunes filles qui ont été victimes de violences sexuelles.
« Le tabou autour des violences sexuelles intrafamiliales n’a pas lieu d’être, c’est intolérable ! Si on brise pas ce tabou, on rend les victimes invisibles aux yeux de la société. »
À travers son film « Douleur silencieuse », Aïcha Diaby lève le tabou sur les violences sexuelles subies par les jeunes filles au sein de leur propre famille, et du silence qui en découle.
Publiée par Brut Sénégal sur Mercredi 7 septembre 2022
« Le tabou autour des violences sexuelles intrafamiliales n’a pas lieu d’être, c’est intolérable ! Si on brise pas ce tabou, on rend les victimes invisibles aux yeux de la société. » À travers son film « Douleur silencieuse », Aïcha Diaby lève le tabou sur les violences sexuelles subies par les jeunes filles au sein de leur propre famille, et du silence qui en découle.
À la demande de son père, Coline retourne dans sa chambre d’enfant faire le tri dans ses affaires. Les différents objets qu’elle trouvera vont lui rappeler certains souvenirs douloureux. En faisant ce tri elle accepte enfin ceux dont elle ne pourra jamais se débarrasser.
Une femme danse sur la piste d’une boite de nuit. Les paillettes sur ses paupières font écho à celles de sa robe. Soudain, des images traumatiques remontent à la surface de sa conscience et la perturbent. Judith a été violée lorsqu’elle était enfant par son beau-père. Elle vient d’apprendre que le procès n’aura pas lieu. C’est dans cette même robe qu’on la suit de la confrontation de son violeur jusqu’aux marches du Palais de Justice de Bruxelles.
Petite, Alice a été épiée et a subi des attouchements par son beau-père. Elle fera tout pour le cacher. Adulte, son regard sur ces abus est différent et elle lui réclame des excuses. Seulement, la mémoire de ce dernier est plutôt confuse…
Je suis cachée Romie, 6 ans, joue à cache-cache avec son oncle. Mais plus il se rapproche, moins il s’agit d’un jeu. Romie, comme 165.000 autres enfants cette année en France, est victime de violences sexuelles.
Libertée chérie Violette essaie de rédiger son devoir pour l’école : « Qu’est-ce que la liberté ? ». Son père entre dans sa chambre, il veut jouer.
Le roi du silence Gaspard, un petit garçon, est surpris par l’arrivée d’un monstre dans sa chambre. Ce dernier lui propose de jouer à un jeu, mais attention, une règle à ne pas enfreindre : garder le silence.
Pour son premier court métrage, Élodie Wallace évoque avec pudeur et réalisme la libération de la parole. Sa productrice Laurence Méoc (2.4.7. Films) revient pour le CNC sur la genèse de Motus.
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