En quelques mois, la CIIVISE a reçu plus de 11 000 témoignages. Elle a auditionné de nombreux experts, effectué des déplacements dans plusieurs services spécialisés. Elle est en mesure de faire vingt préconisations et publie ses conclusions intermédiaires (pdf).
Le Collectif pour l’Enfance, fort de ses 39 associations et personnalités qualifiées tient à souligner et à saluer la pertinence des recommandations de la CIIVISE, du 27 Octobre 2021 pour assurer la protection de l’enfant victime d’infraction sexuelle, tout au long de la procédure pénale, notamment dés le début de l’enquête…
Les avocats Frank Berton, Blandine Lejeune, Hervé Corbanesi, Julien Delarue, et Hubert Delarue, avocat honoraire, qui avaient défendu des acquittés dans le scandale judiciaire d’Outreau, alertent sur plusieurs recommandations de la Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants, portant atteinte à la présomption d’innocence, selon eux.
Juge pour enfant et co-président de la commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise), Édouard Durand décrypte pour Aleteia les enjeux des premières recommandations de la commission.
Trois semaines après la publication du rapport de la Ciase sur les abus sexuels commis au sein de l’Église, la commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a formulé trois recommandations en vue de mieux protéger les enfants dans le cercle familial.
Sept mois après sa mise en place et un mois après le lancement de la plateforme téléphonique destinée à recueillir les témoignages de victimes d’inceste, la Ciivise, Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants, a rendu ses premières conclusions sous la forme de trois recommandations.
La Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (CIIVISE) vient de rendre 3 recommandations qui permettront de garantir la mise en sécurité des enfants et d’assurer une protection aux mères qui peuvent se voir condamner pour non-représentation d’enfant ou retirer la garde au profit du père.
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