Injustices est un podcast qui décortique les injustices structurelles. La saison 2, intitulée “Ou peut-être une nuit” est consacrée au silence le plus épais qui fait encore taire les victimes de violences sexuelles : celui qui entoure l’inceste.
Pendant deux ans, Charlotte Pudlowski a travaillé sur l’inceste et le silence qui l’entoure, pour produire un podcast en 6 épisodes, qui s’appelle «Ou peut-être une nuit». Parmi les personnes rencontrées pour cette série, il y a l’anthropologue Dorothée Dussy. Elle qui a travaillé pendant plus de 10 ans sur l’inceste avant de changer de sujet, elle a publié un livre passionnant, « Le Berceau des Dominations« , pour lequel elle a interviewé des dizaines d’incesteurs. Dorothée Dussy explique dans Fracasla mécanique du silence de l’inceste.
Injustices est un podcast qui décortique les injustices structurelles. La saison 2, intitulée “Ou peut-être une nuit” est consacrée au silence le plus épais qui fait encore taire les victimes de violences sexuelles : celui qui entoure l’inceste.
Cet épisode aborde les sujets de l’inceste, des agressions sexuelles, du viol et des troubles alimentaires.
Lucie ne veut pas que son corps change et elle ne sait pas pourquoi. Pour rester une petite fille, elle se fait vomir, jour après jour, nuit après nuit. Médecins et thérapeutes se succèdent mais rien n’y fait, elle n’arrive pas à mettre les mots sur son mal être. Jusqu’au jour où son corps lui parle dans un rêve.
L’histoire de Lucie a été recueillie par Rudy Saada.
Injustices est un podcast qui décortique les injustices structurelles. La saison 2, intitulée “Ou peut-être une nuit” est consacrée au silence le plus épais qui fait encore taire les victimes de violences sexuelles : celui qui entoure l’inceste.
Comment finit-on par parler de l’inceste, alors que tout est fait pour le dissimuler et le garder caché ?
Thomas Rozec reçoit Charlotte Pudlowski, journaliste et co-fondatrice du studio de podcast Louie Media.
C’est sans doute l’expérience la plus innommable qui soit, et le tabou le plus vieux du monde. François, 62 ans aujourd’hui, a pourtant souhaité en parler. Raconter ces années où son père, pédiatre reconnu, a abusé de lui dans une chambre du deuxième étage. Pour dire que l’on peut survivre, surmonter le traumatisme et la culpabilité. Mais aussi dans l’espoir d’aider d’autres langues à se délier.
Dans le huis clos des foyers de l’Aide sociale à l’enfance, le confinement est une épreuve durement ressentie. Enfants placés et éducateurs racontent le poids du quotidien et les tensions intimes et collectives.
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