
Les jeunes enfants victimes d’agression sexuelle n’ont pas de voix dans l’espace public
Fiche mise à jour le 29 septembre 2022
En bref
Martine Hébert
Description
Le mouvement #MeToo a permis aux victimes d’agressions d’être entendues dans l’espace public. Les enfants, qui forment une grande proportion des victimes de violences sexuelles, demeurent sans voix.
Sommaire :- Une victime sur cinq ne dévoile jamais l’agression
- Des répercussions multiples
- Des solutions existent
Natacha Godbout : Full Professor, Professeure titulaire, Sexologie, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Jean-Martin Deslauriers : Professeur, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa
Mylène Fernet : Professeure titulaire, Département de sexologie, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Stephanie Pelletier : Coordonnatrice de recherche, Unité de recherche et d’intervention sur le TRAuma et le CouplE (TRACE), Université du Québec à Montréal (UQAM)
Mots clés SantéPsy :Victime mineure, Conséquence, Traumatisme psychique, Silence, Statistique, Agression sexuelle, Repérage, Thérapie comportementale et cognitive
Mots clés libres : Lieux :