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Article

Les jeunes enfants victimes d’agression sexuelle n’ont pas de voix dans l’espace public

Fiche mise à jour le 29 septembre 2022

En bref

Périodique : The Conversation
Date de publication : 12 octobre 2021

Description

Présentation de l'éditeur :

Le mouvement #MeToo a permis aux victimes d’agressions d’être entendues dans l’espace public. Les enfants, qui forment une grande proportion des victimes de violences sexuelles, demeurent sans voix.

Sommaire :

  • Une victime sur cinq ne dévoile jamais l’agression
  • Des répercussions multiples
  • Des solutions existent

Note :

Natacha Godbout : Full Professor, Professeure titulaire, Sexologie, Université du Québec à Montréal (UQAM)

Jean-Martin Deslauriers : Professeur, L’Université d’Ottawa/University of Ottawa

Mylène Fernet : Professeure titulaire, Département de sexologie, Université du Québec à Montréal (UQAM)

Stephanie Pelletier : Coordonnatrice de recherche, Unité de recherche et d’intervention sur le TRAuma et le CouplE (TRACE), Université du Québec à Montréal (UQAM)

Mots clés SantéPsy :

Victime mineure, Conséquence, Traumatisme psychique, Silence, Statistique, Agression sexuelle, Repérage, Thérapie comportementale et cognitive

Mots clés libres :

Dévoilement

Lieux :

Québec

Détails

Langue : français
Numéro de fiche : 932
Catalogue(s) : Fonds CRI-ADB
Type de fiche : Article de périodique
Création : 29/09/2022
Dernière modification : 29/09/2022
Statut : Publié