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Étiquette : Violences sexuelles sur mineur

Violences sexuelles sur mineurs : seuil d’âge : oui. Clause « Roméo et Juliette » : non

Par Carine Durrieu Diebolt, Avocate –

La proposition de loi Billon prévoit un seuil d’âge de non consentement pour les mineurs victimes de viols ou agressions sexuelles commis par des adultes, ce qui constitue indéniablement une avancée notable. Mais, parallèlement, elle est assortie d’une exception en cas de différence d’âge de moins de 5 ans entre le majeur et le mineur, qui aboutit à fragiliser juridiquement les mineurs âgés de 13 à 15 ans victimes de jeunes majeurs âgés de 18 à 20 ans. Comment concilier notre droit constitutionnel et la protection supérieur de l’enfant ? Peut-on trouver une solution en droit comparé ?

village-justice.com

Conférence – Violences sexuelles faites aux enfants – 15 avril 2021 (visio)

Violences sexuelles faites aux enfants : mieux détecter et mieux accompagner les victimes dans le cadre de la protection de l’enfance

Comment mieux détecter et mieux accompagner dans le cadre de la protection de l’enfance les victimes de violences sexuelles ? LEcole de la Protection de l’Enfance propose une formation pour mieux appréhender ces questions en présence de spécialistes reconnus, d’acteurs de terrain innovants, ainsi que de témoins et victimes de ces violences.

ecoleprotectionenfance.com

Violences sexuelles sur mineurs : la fin de l’impunité ?

Les équipes de LCP Le Mag sont parties à la rencontre des victimes, et de tous ceux qui œuvrent à des solutions: associations, députés, ministre, membres de la nouvelle commission indépendante… tous bien conscients qu’à la faveur de la vague #Metoo​Inceste, c’est maintenant qu’il faut agir.

  • LCP Le Mag – 24/03/2021
  • Durée : 28m

lcp.fr

Crimes sexuels sur mineurs : le Sénat adopte le texte en seconde lecture

En seconde lecture, le Sénat a adopté la proposition de loi visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste. Le texte établit un seuil d’âge de non-consentement à 15 ans et 18 ans en cas d’inceste, et allonge le délai de prescription. Le dispositif destiné à protéger les amours adolescentes consenties, et la notion « d’autorité de droit ou de fait » qui conditionne le crime d’inceste a suscité toutefois l’opposition du groupe PS du Sénat qui s’est abstenu.

publicsenat.fr