Virginie, de l’âge de 5 à 15 ans, a été victime d’un prédateur sexuel : son frère aîné. Elle témoigne de son histoire dans un livre « La barque noire », publié aux éditions Les Presses du Midi. Muriel Salmona, psychiatre spécialisée en psychotraumatologie, discute du thème de l’inceste.
Cet épisode est la 1ère partie d’une rencontre avec Sanara, maman d’un petit garçon de 6 ans. Sanara est la fondatrice du podcast Lumineuse podcast qu’elle a créé pour apporter éclairages et aide aux personnes victimes de violences sexuelles.
Non, ça n’arrive pas qu’aux autres. L’inceste existe en France et même si la honte ronge les victimes qui n’osent pas parler, la parole se libère enfin sur un tabou bien plus présent que ce que l’on peut croire.
Virginie est maman d’un garçon de 19 ans et d’une petite fille de 4 ans. Alors enceinte de son deuxième enfant, elle se lance dans l’écriture d’un livre retraçant l’inceste dont elle a été victime enfant. Un témoignage pour libérer la parole et interroger sur le poids du secret au sein des familles.
« C’était mon grand oncle ». Angélique est venue raconter l’inceste qu’elle a subi lors d’une réunion publique organisée par la Ciivise, ce mercredi 16 février, et à laquelle Le HuffPost s’est rendu.
Salle comble ce mercredi soir au Palais de la femme à Paris. 200 personnes ont répondu à l’appel de la Ciivise pour témoigner des souffrances endurées.
Paris – « Je suis encore victime aujourd’hui », « j’ai pris perpétuité », « une part de moi est morte »: après Nantes, Bordeaux ou Lille, des adultes anonymes ont pris la parole mercredi à Paris lors d’une réunion publique pour raconter les conséquences de l’inceste subi dans leur enfance.
Plusieurs personnes anonymes ont pris la parole mercredi 16 février lors d’une réunion publique pour raconter les conséquences de l’inceste subi dans leur enfance. Quelque 200 personnes étaient présentes dans la salle à Paris
La Ciivise organise, pour les victimes d’inceste, des réunions publiques dans plusieurs grandes villes de France. Mercredi soir, près de 200 personnes sont attendues à Paris, un record. Les participants proposent leurs idées pour améliorer la prise en charge des enfants victimes de violences sexuelles.
Une partie des souvenirs d’enfance de Kilian a été effacée de sa mémoire mais tout a rejailli lors de ses 20 ans. Il nous parle de son rapport aux femmes compliqué et milite aujourd’hui pour briser le silence en intervenant dans les écoles.
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