Les violences intrafamiliales physiques ou sexuelles, hors conjoint ou ex-conjoint, ont augmenté de 16 % en 2021, selon une étude publiée par le ministère de l’Intérieur mardi 28 février. Une hausse assez inquiétante.
Une étude révèle une hausse de 16 % de la violence intrafamiliale en 2021. Elle touche 64 300 personnes en France. L’étude illustre la vulnérabilité des enfants et montre que la parole se libère, notamment pour des faits anciens.
Deux ans après les révélations du mouvement #MeTooInceste, la situation a peu évolué en Suisse. Plusieurs spécialistes relèvent une prise de conscience mais un manque de volonté politique pour lutter contre l’inceste.
Communiqué de presse – L’ONPE publie une note dédiée aux données sur les maltraitances intrafamiliales envers les enfants en France. […] Un focus est consacré aux maltraitances subies dans la sous-population des enfants pris en charge par l’ASE. Cette note s’accompagne d’une fiche synthétique permettant une démarche d’appropriation des chiffres disponibles.
Le ministère de l’Intérieur a publié les résultats de sa dense enquête « Genese 2021 » qui décortique les violences intrafamilales en France métropolitaine.
L’année 2021 a été marquée par une forme augmentation des plaintes pour violences sexistes et sexuelles selon le dernier bilan du service statistique ministériel de la sécurité intérieure rattaché au ministère de l’Intérieur, publié jeudi 30 juin dernier.
Le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure rattaché au ministère de l’Intérieur a publié, jeudi 30 juin 2022, son bilan « Insécurité et délinquance« .
Ce document montre que les plaintes pour des violences sexistes et sexuelles ont augmenté de 33% en un an, en 2021.
CheckNews – Mise en avant par le journaliste Karl Zéro dans son documentaire sur la pédocriminalité, l’estimation trouve son origine dans une ancienne campagne du Conseil de l’Europe.
À La Réunion, d’après l’enquête Virage dans les Outre-mer, 30 % des femmes et 25 % des hommes déclarent des faits de violence avant 18 ans dans les différentes sphères de vie (études, loisirs, cercle amical, famille, proches). Ces faits sont nettement plus fréquents que dans l’Hexagone. Au sein de la famille, les femmes déclarent davantage de violences subies, et cela de tout type (psychologique, physique, sexuel). Les auteurs de violences sexuelles subies par les mineures de moins de 18 ans sont majoritairement des hommes de la famille et de l’entourage proche.
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