Tribune – Une cinquantaine de personnalités et dirigeants associatifs, dont la réalisatrice Andréa Bescond, la psychiatre Muriel Salmona, l’adjointe à la maire de Paris Audrey Pulvar, la comédienne Alexandra Lamy, la patineuse Sarah Abitbol, appellent Emmanuel Macron à « agir, dans l’intérêt supérieur de l’enfant ».
L’association à l’origine de ce mouvement réclame, entre autres, que l’amnésie traumatique soit reconnue comme un « obstacle insurmontable » permettant la suspension du délai de prescription.
Un collectif demande un seuil d’âge de non-consentement à 15 ans, et 18 ans en cas d’inceste, l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineurs. Deux avocats dénoncent les conséquences qu’aurait une telle mesure sur les victimes.
Pour : L’heure de la tolérance zéro a sonné
Contre : L’imprescriptibilité créerait plus de désillusions auprès des victimes
Un collectif demande un seuil d’âge de non-consentement à 15 ans, et 18 ans en cas d’inceste, l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineur·e·s et une reconnaissance de l’amnésie traumatique.
Du 30 octobre au 20 novembre, de 20h à 22h, Le Forum de l’Enfance Libre lance le premier volet d’une série en trois temps sur la pédocriminalité.
Réalisée par Manuèle Lang, journaliste, et par Ophélie Perrin, thérapeute, cette première série d’interviews donnera la parole à des victimes qui ont fait de leur vécu leur combat, à des professionnels de la protection de l’enfance ainsi qu’à des chercheurs.
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