Tous les jours, une personnalité s’invite dans le monde d’Élodie Suigo. Aujourd’hui, la danseuse, comédienne et auteure, Andréa Bescond. Elle publie son premier roman, « Une simple histoire de famille », chez Albin Michel.
Dans « Une mère éphémère », son premier ouvrage paru chez Verdier, Emma Marsantes affronte avec les armes de la littérature et sous pseudonyme le trauma de l’inceste et du suicide.
En publiant son premier roman, Les silences crient, Fanny Allemand, artiste mayennaise, veut que les victimes soient écoutées, qu’on préserve les enfants.
Dans son premier roman, Sophie Blandinières dépeint avec brio la rage d’une journaliste partie couvrir une affaire de pédophilie dans un village du sud de l’Italie.
Présentation du roman :
« Je suis là pour nager, pour couler, pour sortir de l’eau casquée et en colère. Je suis venue empêcher que des enfants soient inhumés avec les faits sans clairons. On leur doit bien une oraison funèbre. Je suis venue porter plainte. Je suis venue réveiller les petits cadavres, leur prêter ma voix de stentor, faire une chaîne avec eux et nous allonger sur les places, sur les routes, nous suspendre aux nuages, nous jeter avec la pluie, menacer enfin, troubler l’ordre public en étant simples et laids, pitoyables et repoussants, prêts à horrifier. » C’est une histoire d’enfants, dont elle fut, qui ne grandiront jamais comme les autres, prisonniers à perpétuité de ces années où ils ont été les jouets de prédateurs, pédophiles ou parents incestueux…
Comprenant qu’elle était loin d’être la seule à avoir connu une enfance et une adolescence saccagées, Sophie Chauveau a enquêté pour dresser l’inventaire des victimes et des bourreaux de sa famille. La dynastie de pervers, qui commence avec le dépeceur du Jardin des Plantes pendant le siège de Paris, se poursuit sur trois générations. Unique par l’ampleur de ce qu’il dévoile, son témoignage sur l’inceste est d’une force inouïe. Voici le roman monstrueux d’une famille hors normes.
Mathilde Brasilier, alias Maud Steiner, est architecte. Elle se consacre aujourd’hui au journalisme et collabore à Sciences et Avenir, au Nouvel Observateur et au magazine Challenges.
Son livre, « Il y avait le jour, il y avait la nuit, il y avait l’inceste », est un roman autobiographique. Mathilde Brasilier nous raconte à mots couverts, sans crudité et avec beaucoup d’émotion et de retenue, son calvaire.
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