La caution du déni, l’aliénation parentale, des concepts qui fonctionnent et des mécanismes qui disent aussi quelque chose de la société que l’on fait.
LSD, la série documentaire propose une semaine exceptionnelle autour d’un sujet longtemps resté tabou : l’inceste. 4 épisodes – de 58 minutes – forts de témoignages croisés de victimes, médecins, chercheurs, juristes et représentants d’institutions.
À l’antenne de France Culture du 3 au 6 janvier à 17h
Dans un appel diffusé sur les réseaux sociaux, une mère suspectant des abus sexuels sur sa fille de 4 ans se heurte à l’indifférence et la froideur d’un agent de la brigade des mineurs. La police des polices a été saisie, selon la préfecture.
Interview – Policière la brigade de protection de la famille jusqu’en 2019, cette capitaine raconte dans Enfances perdues, aux éditions Robinson, l’effrayant quotidien de ceux qui, comme elle, sont ou ont été confrontés à l’horreur.
Spécialisés dans les violences sexuelles et intrafamiliales, deux enquêteurs du Groupe de la protection des mineurs de la police d’Orléans expliquent comment ils traitent, au quotidien, les affaires liées à de possibles cas d’inceste.
C’est l’un des crimes les plus tabous : l’inceste, dénoncé par des milliers de victimes sur les réseaux sociaux, après la publication du livre-choc de Camille Kouchner, qui racontait l’inceste subi par son frère. France Inter a recueilli la parole d’une victime de triple inceste qui a livré son cauchemar aux policiers.
La police judiciaire marseillaise, pourtant deuxième pôle de France avec 15 000 affaires traitées chaque année, ne disposait toujours pas de cet équipement, faute de budget.
Plongée dans le rythme effréné de la Brigade de Protection des mineurs : Maltraitance et inceste, proxénétisme, disparitions, pédopornographie : les policiers témoignent de leur engagement contre toute forme de crimes perpétrés à l’encontre des enfants.
24 heures au commissariat de Nanterre : Etre policier, c’est un investissement total. Comment les policiers appréhendent-ils leurs missions ? Quel regard portent-ils sur leur métier ?
Interview de Christian Sainte, patron de la Direction Régionale de la Police judiciaire
Interview de Michel Chaballier, commissaire de Nanterre
Décret n° 2018-1020 du 22 novembre 2018 portant création d’un traitement automatisé de données à caractère personnel dénommé « plate-forme de signalement des violences à caractère sexuel et sexiste »
Le décret autorise le ministre de l’intérieur à mettre en œuvre un traitement de données à caractère personnel destiné à permettre aux personnes victimes ou témoins de violences à caractère sexuel ou sexiste d’entrer en relation et d’échanger en temps réel avec un personnel de la police nationale ou de la gendarmerie nationale et d’effectuer un signalement. L’objet du dispositif est d’informer, d’orienter les personnes dans leurs démarches et de faciliter leur prise en charge par les autorités compétentes. Le décret définit les finalités du traitement, la nature et la durée de conservation des données enregistrées ainsi que les catégories de personnes y ayant accès ou en étant destinataires. Il précise également les modalités de traçabilité des opérations et les modalités d’exercice des droits des personnes concernées.
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok