Violences sexuelles pendant l’enfance: une plateforme téléphonique désormais disponible pour briser le silence
— BFMTV (@BFMTV) September 22, 2021
- Durée : 1min30
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>> Recherche avancéeInterview de Karine Mousseau, vice présidente de SOS KRIZ, association qui pilote le dispositif téléphonique de la Ciivise pour l’outre-mer.
La Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a lancé ce mardi une plateforme téléphonique et un site internet pour recueillir la parole des victimes de violences sexuelles et de leurs proches.
Après une campagne de communication et un appel à témoins, la commission Inceste a lancé ce mardi une plateforme téléphonique pour recueillir la parole de victimes de violences sexuelles dans l’enfance. La ligne a reçu déjà de nombreux appels.
Les victimes de violences interfamiliales peuvent ainsi appeler entre 10 heures et 19 heures le 0805 802 804 (ou le 0800 100 811 pour l’outre-mer), où elles sont entendues par des écoutantes formées à la spécificité des violences sexuelles du CFCV (Collectif féministe contre le viol) et de SOS-Kriz.
Une plateforme est mise en place pour lutter contre les incestes et les violences sexuelles. On en parle dans Points de vue, avec Edouard Durand, co-président de la commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles.
La Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) lance mardi 21 septembre une plate-forme téléphonique pour recueillir les témoignages des victimes et de leurs familles, souvent murées dans le silence.
C’est un fléau qui toucherait 10% des Français. L’inceste et les agressions sexuelles pendant l’enfance. Une ligne d’écoute ouvre ce matin pour les anciennes victimes (0805 802 804). L’objectif est d’identifier ce qui n’a pas fonctionné dans leur prise en charge à l’époque des faits.
A partir de ce mardi 21 septembre, une ligne téléphonique et un site internet sont accessibles pour les victimes d’inceste qui souhaitent témoigner. L’objectif est d’une part d’amener les victimes à se confier et d’autre part d’aider à construire une politique publique de lutte contre l’inceste à l’horizon 2023.