L’association à l’origine de ce mouvement réclame, entre autres, que l’amnésie traumatique soit reconnue comme un « obstacle insurmontable » permettant la suspension du délai de prescription.
Comment mieux protéger les enfants victimes d’inceste et de violences sexuelles ? Sur le plan législatif, la situation évolue également avec l’examen à l’Assemblée nationale de la proposition de loi renforçant la protection des mineurs victimes de ces violences sexuelles. Au cœur des débats, la question de l’emprise et du consentement.
Un collectif demande un seuil d’âge de non-consentement à 15 ans, et 18 ans en cas d’inceste, l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineurs. Deux avocats dénoncent les conséquences qu’aurait une telle mesure sur les victimes.
Pour : L’heure de la tolérance zéro a sonné
Contre : L’imprescriptibilité créerait plus de désillusions auprès des victimes
Un collectif demande un seuil d’âge de non-consentement à 15 ans, et 18 ans en cas d’inceste, l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineur·e·s et une reconnaissance de l’amnésie traumatique.
Pour survivre, les victimes d’inceste, anesthésiées émotionnellement, mettent en place des stratégies d’évitement qui ne sont pas sans conséquence sur leur état de santé physique et psychique. La psychiatre Muriel Salmona développe ces traumatismes et les clés pour s’en sortir.
Les chiffres sur l’inceste et la déferlante de témoignages sur Twitter donnent froid dans le dos. Comment, en tant que parent, protéger nos enfants des agressions sexuelles dans le cercle familial, mais aussi au-delà ? Les réponses de Muriel Salmona, psychiatre et psychotraumatologue.
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