
Des dizaines de personnes ont témoigné de leur expérience d’amnésie traumatique après avoir subi des violences sexuelles, sur les réseaux sociaux, ce 21 février, à travers le hashtag #metooamnésie. Derrière la reconnaissance de ce mécanisme se joue aussi un débat sur la prescription.
marianne.net

Depuis dimanche, des victimes d’inceste et de pédocriminalité témoignent sur Twitter sous le hashtag #MeTooAmnesie. Elles évoquent ce mécanisme d’oubli qui les empêche de se souvenir des violences subies. Explications avec Muriel Salmona, psychiatre et présidente de l’association Mémoire traumatique et victimologie.
lci.fr

L’association à l’origine de ce mouvement réclame, entre autres, que l’amnésie traumatique soit reconnue comme un « obstacle insurmontable » permettant la suspension du délai de prescription.
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