
Moyotte –
Agressions sexuelles, inceste, comment libérer la parole à Mayotte, où les langues locales n’ont pas de traduction pour ces horreurs ? La clé, c’est la prévention, et autour du collectif Haki Za Wanatsa, les principaux acteurs du territoire se sont engagés autour d’une charte commune. Une première.
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Il y a quelques mois, Saïrati Asimakou lançait, dans l’Hexagone, l’association ‘Souboutou Ouhédzé Jilaho – Ose libérer ta parole’. Elle-même victime des viols de celui qu’elle appelle son ‘géniteur’.
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Deux ans avant #metooinceste, Saïrati Asimakou prenait la parole pour dénoncer l’inceste dont elle a été victime à Mayotte. Depuis, elle encourage les Mahorais à parler sur une page Facebook. Elle vient de créer une association pour diffuser ce message au delà d’internet, dans l’espace public.
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