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Étiquette : Le Devoir

La culture de l’inceste et l’inceste dans la culture

Le sujet enténébré est traité dans l’ouvrage [La culture de l’inceste (Seuil)] qui calque son titre sur la formule de la culture du viol. Dans les deux cas, l’idée fondamentale est de penser les violences sexuelles en termes culturels et non individuels pour finalement rappeler la tolérance, voire l’encouragement de telles pratiques.

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La justice réparatrice, raconter et reconnaître l’offense

Québec –

Cinq ans après la vague de dénonciations d’agressions sexuelles, les survivantes continuent de plaider pour un système de justice plus à l’écoute de leurs besoins. L’Institut national de santé publique du Québec estime que seulement de 5 à 6 % d’entre elles portent plainte à la police, même si une hausse du nombre de dénonciations relatives aux infractions à caractère sexuel est observée. L’une des pistes de solution préconisées par certaines victimes, c’est la justice réparatrice.

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La parole des victimes de ​violences sexuelles à livre ouvert

Camille Kouchner, Vanessa Springora ou encore Sarah Abitbol : de plus en plus de Françaises optent pour l’écriture d’un livre plutôt que pour un message sur les réseaux sociaux pour raconter les agressions sexuelles qu’elles, ou des membres de leur entourage, ont subies. Un phénomène qui trouve aussi écho au Québec dans les dernières années. Le livre serait-il la voie idéale pour libérer la parole des victimes et briser les tabous ?

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Le poids du silence

Peu de mots traversent ce roman graphique, mais un ressenti palpable nous happe notamment dans les quelques tentatives que prend Luna pour rejoindre sa mère.

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Rompre le silence à la hache

Brisez le silence, conseille-t-on souvent aux victimes d’abus. Briser le silence ? rétorque en ruant la blogueuse et désormais auteure Pattie O’Green. « Moi, je parle depuis le début, signale cette victime d’inceste, et ce que je reçois en retour, c’est un silence. Un silence social, qui règne. Et c’est ça qui fait mal. “Libérez-vous en parlant”, disent-ils, mais ce n’est pas libérateur de parler si ce que tu reçois en retour c’est… rien ! »

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