Par Julie Klein, Professeur à l’École de droit de Sciences Po –
Dans un rapport rendu public le 17 novembre, la CIIVISE préconise l’imprescriptibilité des viols et agressions sexuelles commis contre les enfants. Pour Julie Klein, cette mesure présente des dangers.
Alors que la parole des victimes se libère sur les violences sexuelles, notamment envers les mineurs, une demande apparaît : certain·e·s appellent, non pas à rallonger le délai accordé aux victimes pour porter plainte comme cela avait été fait en 2018, mais bien à rendre ces crimes imprescriptibles. Qu’est-ce que cela signifie ? Et à quoi sert, concrètement, la prescription ?
Thomas Rozec interroge Julie Klein, juriste et professeure à l’école de droit de Sciences Po.
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