Maxime, une adolescente de 17 ans, avance dans le couloir du commissariat. Elle suit Karine, une policière. Dans le bureau de Karine, Maxime est auditionnée une dernière fois, doit se souvenir encore une fois. La peur est de plus en plus présente. Maxime le sait, elle va devoir faire face à sa plus grande peur. Se retrouver dans la même pièce que l’homme qui lui a fait du mal lorsqu’elle était enfant.
Le récit de l’incroyable fiasco judiciaire qui aura duré 4 années de procédure et 2 procès pour arriver à l’acquittement de 13 personnes innocentes ayant fait 3 ans de prison.
Corinne Masiero et les Vaginites, groupe de musique punk opéra, nous entraînent dans une sarabande joyeuse, mais sans concession, pour lutter contre les violences faites aux femmes. Elles libèrent la parole et laissent s’exprimer les blessures.
A voir tout de suite sur internet ou ce soir sur France 3 Hauts-de-France
https://www.france.tv/documentaires/societe/4638049-nous-les-femmes-l-art-qui-repare.html
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Pour la plupart d’entre nous, Corinne Masiero, c’est le Capitaine Marleau. Pour ses fans assidus, c’est aussi une femme qui n’a jamais caché ni son passé difficile entre drogue et prostitution, ni son présent radical entre films engagés et militantisme. Le réalisateur Christian François met en avant son action avec les Vaginites.
Nora, adolescente martiniquaise de 15 ans, est contrainte de suivre sa mère, Laure, et sa petite sœur Mélissa, 6 ans, dans le nord de l’île pour vivre quelque temps chez Henri, son grand-père, paralysé depuis un AVC. Elles s’installent chez le vieil homme pour lui apporter une aide quotidienne. Mais, très vite, l’atmosphère de la maison et la présence d’Henri réveillent chez Nora des souvenirs d’enfance qui vont s’incarner dans la crainte de l’attaque d’un esprit malfaisant…
À 53 ans, Isabelle a décidé de briser le silence. Abusée sexuellement à 10 ans par un membre proche de sa famille, elle a longtemps vécu avec ce secret. Après des années d’amnésie traumatique, elle ne veut plus se taire.
De 7 à 10 ans, Angélique a été victime d’inceste. Aujourd’hui membre de la commission indépendante de la lutte contre l’inceste, elle s’exprime #LaTêteHautepic.twitter.com/8KBHdS5VR6
À la suite des accusations d’inceste visant le politologue Olivier Duhamel, la question est une nouvelle fois revenue : faut-il rendre de tels crimes imprescriptibles ?
Plusieurs femmes ont osé parler et dénoncer les victimes dont elle ou leurs proches ont été victimes. Un acte difficile après des années où elles ne sont pas parvenues à mettre des mots sur ce traumatisme.
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