Comment en finir avec ce tabou ? La justice fait-elle son travail ? Interview d’Isabelle Aubry, fondatrice et présidente de l’association « Face à l’inceste », sera sur notre plateau pour répondre à toutes nos questions.
Emission C à dire (France 5) du 6 janvier 2021
Présenté par Mélanie Taravant
Durée : 10min – Disponible en Replay jusqu’au 13 janvier 2021
Patrick Loiseleur, vice-président de l’association « Face à l’inceste », répond aux questions de Marina Carrère d’Encausse et de Fabien Doguet au sujet de l’inceste : une question de santé publique négligée.
Le magazine de la santé diffusé le 26 novembre 2020
Chaque année, 50 000 plaintes sont déposées pour violences physiques sur des enfants. Cette maltraitance a de lourdes conséquences sur la santé des plus jeunes. C’est l’objet d’une étude publiée par Santé publique France hier.
La comédienne est à l’affiche du film « Un homme parfait », diffusé mercredi soir sur France 2. Elle y joue Daphné, une mère protégeant ses filles contre un père accusé de les abuser.
Documentaire de 70 mn sur le parcours judiciaire des victimes d’inceste
C’est l’un des tabous les plus tenaces de notre société : l’inceste. Il toucherait 2 enfants par classe. Presque toutes les victimes retiennent leur secret jusqu’au bout. Mais 10% d’entre elles décident, un jour, de faire éclater la vérité et de porter plainte.
Emelyne, Christelle, Céline, Maé et sa fille… les filles et les femmes qui témoignent dans ce film ont le courage et la rage qui font avancer. En s’adressant à la justice, elles ignoraient qu’elles venaient de s’engager dans le plus grand combat de leur vie…
Le sujet est encore tabou et très peu documenté. Pourtant, les mineurs sont les premières victimes des violences sexuelles. Selon le ministère de la Justice, quatre affaires de violences sexuelles sur dix sont des agressions sexuelles sur mineur. Mais il semblerait que la réalité soit difficile à évaluer car toutes les victimes ne sont pas en mesure d’en parler et de porter plainte.
15 à 30% des filles et 5 à 15% des garçons mineurs ont subi des violences sexuelles. Ces chiffres reflètent-ils la réalité ? Comment prendre en charge ces enfants ? Quels signes doivent alerter ? Le Dr Agnès Gindt-Ducros, directrice de l’Observatoire national de la protection de l’enfance, a répondu aux questions du Magazine de la santé.
Notre site utilise des cookies pour réaliser des statistiques et enregistrer vos préférences. Si vous continuez sur notre site, nous considérons que vous êtes d'accord.Ok