On les appelle les « parents protecteurs ». Ils, et surtout elles, veulent protéger leurs enfants victimes d’inceste. En France, c’est parfois un parcours du combattant.
On dit souvent aux victimes d’inceste « il faut parler », mais n’est-ce pas d’abord à la société et aux professionnels de l’enfance de provoquer cette parole ?
La caution du déni, l’aliénation parentale, des concepts qui fonctionnent et des mécanismes qui disent aussi quelque chose de la société que l’on fait.
Deux mois après le lancement de l’appel à témoignages, la commission présentera à l’occasion d’un colloque les premiers enseignements tirés de la parole des victimes et de l’audition des experts.
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