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Étiquette : Code pénal

La convention Internationale des Droits de l’Enfant à 30 ans. Agissons !

Mieux protéger nos enfants !

Pour les 30 ans de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, le Collectif Pour L’Enfance partage les conclusions de son colloque du 10 octobre 2019 à Panthéon-Assas en présence de juristes de renom. Ils nous exposent leurs solutions en matière de faisabilité d’un seuil d’âge en France.

  • Comment redéfinir les infractions sexuelles contre les mineurs dans le respect du droit pénal ?
  • Étude de droit comparé sur les infractions sexuelles sur mineurs
  • Difficultés d’application de la loi actuelle
  • Peut-on évaluer le discernement de l’enfant ?
  • Conséquences de l’impunité des violences sexuelles sur mineurs.

collectifpourlenfance.fr

La loi qui interdit et légitime l’inceste en même temps

Par Jean-Luc Viaux –

Depuis le printemps, l’inceste est officiellement interdit en France. Le mot a fait son entrée dans le Code pénal avec la loi du 14 mars 2016 sur la protection de l’enfance. Cette disposition a été saluée comme une avancée, au minimum symbolique. Mais il pourrait bien s’agir, dans la réalité, d’un recul. Car en cherchant à protéger les enfants, le législateur a, par ricochet et sans le vouloir, légitimé l’inceste commis sur des personnes majeures.

  • Un interdit à travers toutes les cultures
  • Un texte aux multiples effets indésirables
  • Un même partenaire sexuel pour la mère et la fille
  • La barrière problématique de la majorité

theconversation.com

Réintroduction de la notion d’inceste dans le Code pénal par la loi relative à la protection de l’enfant

A été publiée au Journal officiel du 15 mars 2016, la loi n° 2016-297 du 14 mars 2016, relative à la protection de l’enfant, qui vise à renforcer et à améliorer la loi n° 2007-293 du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance. Notamment, la loi réintroduit dans le Code pénal la notion d’inceste puisqu’elle rétablit l’article 222-31-1, mais dans des termes plus clairs cette fois. En effet, l’article énonce que les viols et agressions sexuelles sont qualifiés d’incestueux lorsqu’ils sont commis sur la personne d’un mineur par : un ascendant, un frère, une soeur, un oncle, une tante, un neveu ou une nièce ou le conjoint, le concubin d’une des personnes mentionnées ou le partenaire lié par un pacte civil de solidarité avec l’une des personnes mentionnées, s’il a sur le mineur une autorité de droit ou de fait.

actualitesdudroit. lamy.fr

L’inceste et le code pénal (suite)

Nous avons déjà abordé ici la problématique de la mention expresse de l’inceste dans le code pénal. (cf. not. ici)

Depuis fort longtemps, la grande proximité entre l’auteur et la victime d’une agression sexuelle, viol ou autre, est une circonstance aggravante entraînant une augmentation de la peine encourue.

huyette.net

Le parlement renforce la protection de l’enfant

Le texte prévoit la désignation dans chaque département d’un médecin référent pour la protection de l’enfance et inscrit la notion d’inceste dans le code pénal qui, actuellement, ne punit que les viols et agressions sexuelles ainsi que les relations sexuelles avec des mineurs de moins de 15 ans.

lefigaro.fr