L’activiste des droits de l’enfant Arnaud Gallais, membre de la Ciivise , participe ce jeudi aux troisièmes rencontres pénales organisées par la faculté de droit de Saint-Étienne.
Arnaud Gallais, fondateur du collectif Prévenir et Protéger et victime de violences sexuelles dans son enfance, est l’un des 23 membres de la Ciivise. Pendant près de deux ans, avec les autres membres de la commission, il a recueilli 30 000 témoignages de victimes. De ces témoignages est né un rapport qui a été remis au gouvernement le 17 novembre dernier. Lundi 20 novembre, la première ministre présentait quant à elle un Plan de Lutte contre les violences faites aux enfants. Arnaud Gallais s’étonne que celui-ci tienne si peu compte des préconisations de la Ciivise. Il répond aux questions du Café pédagogique.
Le gouvernement s’est saisi de la journée mondiale des droits des enfants, pour déployer un plan de lutte contre les violences faites aux enfants. Une action qui ne semble pas à la hauteur des enjeux selon nos invités.
Journée d’étude co-organisée par la Faculté de Droit de Saint-Etienne dans le cadre du Master Justice Procès Procédures, et le Barreau de Saint-Etienne, en collaboration avec le CERCRID (UMR 5137)
Dans « J’étais un enfant », Arnaud Gallais raconte les coups de son père et les viols de son grand-oncle et de ses cousins. Il est aujourd’hui engagé pour les droits de l’enfant. Rencontre.
Membre de la Ciivise et acteur central de la lutte contre l’inceste, Arnaud Gallais a témoigné dans un livre des viols qu’il a subis. Entretien, à l’occasion de la Journée européenne pour la protection des enfants contre l’exploitation et les abus sexuels.
Arnaud Gallais, membre de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants, répond aux questions de Lionel Gougelot. Ensemble, ils expliquent le travail à faire pour protéger les enfants victimes d’inceste. (Audio – Durée : 8 min)
« Avec la Ciivise, on a répondu à un fait social. Ça a créé beaucoup d’espoir et maintenant, il faut accompagner les mesures », insiste une victime devenu activiste des droits de l’enfant, qui accuse la société de ne toujours pas les protéger.
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