Maëvane Royer a été violée par son grand-père à l’âge de 4 ans, alors qu’elle passait les vacances chez lui. L’homme est décédé une semaine après les faits et Maëvane a oublié les agressions sexuelles qu’elle a subies. Un phénomène, nommé « amnésie traumatique », courant chez les victimes de violences sexuelles aussi jeunes. Devant la caméra de « L’Obs », elle raconte comment elle est parvenue à retrouver la mémoire grâce à des thérapies alternatives après des années d’errance médicale, qui l’ont conduit jusqu’en hôpital psychiatrique. Elle revient aussi sur les multiples signaux manqués par les psychologues qui l’ont suivie à l’adolescence et dans sa vingtaine.
dailymotion.com
Alors que la déferlante #MeTooInceste brise le silence, le Pr Boris Cyrulnik pointe une responsabilité sociétale.
lefigaro.fr
Par peur, désarroi ou négligence, elles font défaut à leurs enfants victimes d’inceste. Et rendent plus difficile la vie d’après.
lexpress.fr
L’affaire Duhamel délivre des victimes d’inceste dont la parole peine à se libérer. Encore faut-il trouver une écoute attentive dont Gwendoline Grabowski a souffert. Elle a créé Enfance v(i)olée.
lanouvellerepublique.fr
Camille Kouchner met le pays face au douloureux constat de l’inceste et aux élites qui s’exemptent les uns les autres de leurs péchés.
nytimes.com
Catherine Milard, directrice de l’association SOS Inceste & violences sexuelles, plaide pour faire de l’inceste une grande cause nationale.
ouest-france.fr
Luxembourg –
Les délais de prescription concernant les crimes incestueux pourraient évoluer au Grand-Duché, où le consentement sexuel est fixé à 16 ans.
lessentiel.lu
Plusieurs messages sur les réseaux sociaux s’indignent que le Sénat rende légal un acte sexuel à partir de cet âge. Mais le texte consiste au contraire à durcir la législation existante.
lemonde.fr
An explosive new book has forced French society to finally confront its dark recent history with accepting, even indulging, those who sexually abuse children.
vice.com
Alors que la parole se libère autour de l’inceste et dénonce les agresseurs sur les réseaux sociaux, les regards se tournent aussi vers les mères, accusées dans certains cas d’être les gardiennes du temple du secret. Une anthropologue et une journaliste nous expliquent les ressorts de ce mutisme.
lefigaro.fr