Vivre en couple après l’inceste traite des difficultés pour les victimes d’établir une relation de couple et une relation d’intimité à l’autre, des relations avec la famille de la victime, de la position difficile du conjoint, de la parole à libérer et surtout des ressources mises en place par les victimes pour construire une vie sentimentale équilibrée.
Qui sont les victimes de violences sexuelles ? Quel est l’impact de ces violences ? Quelles prises en charge, quelle protection et quelle reconnaissance pour les victimes ? Quelles actions mettre en place pour que leurs droits soient respectés ?
Quand le théâtre se coltine une réalité tragique sans faux-semblant, cela donne Agnès, une pièce écrite et mise en scène par Catherine Anne, violent, étouffant et sidérant travail sur le thème de l’inceste et du viol.
Impact des violences sexuelles de l’enfance à l’âge adulte, déni de protection, de reconnaissance et de prise en charge : enquête auprès des victimes, détaille et analyse les résultats de l’enquête et présente les recommandations qui en découlent.
Stop au déni : un sombre rapport révèle les lacunes graves de la prise en charge des victimes d’abus sexuels pendant l’enfance ; celles-ci ont été « abandonnées, incomprises, en proie à des souffrances psychiques atroces », sans pouvoir obtenir protection ni justice.
Le sénat a adopté en première lecture la proposition de loi relative à la protection de l’enfant mercredi dernier (11 mars 2015): premier pas !
Malheureusement, le courage a manqué: l’article 22 qui introduisait (enfin…) le crime d’inceste dans le code pénal a tout simplement été supprimé (contre l’avis d’ailleurs de la commission des affaires sociales).
En amont de la Journée Internationale des Droits des Femmes (8 mars), l’association Mémoire Traumatique et Victimologie, avec le soutien de l’UNICEF France publie une étude inédite sur l’impact des violences sexuelles de l’enfance à l’âge adulte.
Les maltraitances sexuelles sur un mineur au sein même de la famille sont combattues et condamnées par l’ONU depuis près de 25 ans avec l’adoption de la Convention internationale des droits de l’enfant. Pourtant, l’inceste reste un « fléau de santé publique de l’ombre » selon Cédric Grouchka (membre du collège de la Haute Autorité de Santé) qui s’exprimait ce mercredi 19 novembre lors d’un colloque à Paris. L’inceste est en effet difficile à repérer, mais également à faire reconnaître.
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