Article
« Sur l’inceste, le déni de la société reste très fort », déclare Nathalie Mathieu
Fiche mise à jour le 22 mars 2022
En bref
Interviewer : Carine Janin
Interviewé : Nathalie Mathieu
Périodique : Ouest France
Date de publication : 19 mars 2022
Etendue : p. 7
Liens internet : Accès à la version en ligne
Description
Présentation de l'éditeur :
Nathalie Mathieu explique pourquoi la Commission indépendante sur l’inceste (Ciivise), qu’elle copréside, base son travail sur le témoignage des victimes. Et comment l’inceste reste « inentendable » encore aujourd’hui.
Sommaire :Extraits des questions posées :
- Qui sont les victimes d’inceste ?
- Qui sont les agresseurs ?
- Pourquoi une commission ?
- Pourquoi avoir fait le choix de rencontres publiques ?
- D’où leur vient ce courage de témoigner publiquement ?
- Cela répare-t-il le déni auquel elles ont été confrontées ?
- Un enfant qui n’a pas encore la parole s’exprime aussi ?
- Comment se portent les victimes d’inceste ?
- Certains ont eu des amnésies traumatiques…
- Les adultes parlent, se manifestent. Et les enfants ?
- La société n’est pas encore prête à entendre les enfants ?
- Cela percute aussi la famille, qui est le socle de notre société ?
- Les agresseurs, dites-vous, sont partout…
Poursuite de l’entretien
« La procédure pénale, parfois, c’est l’épreuve en plus »
- Comment repérer les victimes ?
- 70 % de plaintes sont classées sans suite…
- Faut-il revenir sur la prescription ?
- Comment travaille la commission ?
- À Agen, la maison Jean Bru que vous dirigez est unique ; Pourquoi n’a-t-elle pas été dupliquée ?
Inceste, Victime, Écoute, Question de société
Mots clés libres :CIIVISE, Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants
Détails
Genre : Presse, Presse régionale, Interview
Langue : français
Numéro de fiche : 837
Type de fiche : Article de périodique
Création : 21/03/2022
Dernière modification : 22/03/2022
Statut : Publié