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Amnésie traumatique : les victimes de viol demandent l’imprescriptibilité

Alors qu’elle passait des vacances chez sa grande tante, Mié Kohiyama est violée par un cousin éloigné. Elle n’en parle à personne et oublie ce drame : Mié est victime d’amnésie traumatique. 32 ans plus tard, devenue adulte, la scène lui revient. Mais les délais de prescription sont passés : elle n’a pas pu porter plainte. Un témoignage recueilli par Rahabi Ka.

lcp.fr

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